Examples of using "Dared" in a sentence and their french translations:
Constantin a donc osé
Il n'a pas osé s'en approcher.
Il osa ignorer mon conseil.
Il n'osait l'embrasser.
j'ai osé suivre mes rêves
J'ai osé soutenir son avis.
Il a osé ne pas obéir à mon ordre.
Il n'osa pas sauter par-dessus le ruisseau.
Je n'ai jamais osé lui parler.
Il n'a pas osé dire non à mon plan.
- Il n'osa pas sauter par-dessus le ruisseau.
- Il n'a pas osé sauter par-dessus le ruisseau.
justement parce que nous avons osé remettre en cause ces modèles dominants.
Elle a osé marcher sur la corde raide sans filet.
Je n'ai pas encore osé déclarer mon amour.
Mais, quand j'ai eu l'audace de le dire à mon agent --
aucun d'eux n'osait discuter de ce qui se passait.
Lorsqu'ils se sont rencontrés, ils ont osé faire un grand pas:
Il a osé rendre visite au gouverneur de l'État de New-York.
J'ai toujours voulu la rencontrer, mais je n'ai jamais osé.
Personne n'avait osé ni considéré le confronter là-dessus.
Le grand chanteur kabyle Matoub Lounès a critiqué la dictature et a même osé critiquer l'islam. Mais quand il a osé parler du droit des peuples à l'autodétermination, et donc au peuple kabyle d'avoir son État, il a été assassiné par les autorités algériennes.
Il y avait une sensation de retenue dans la pièce ; personne n'osait dire au roi à quel point sa décision était insensée.
Il n'osa pas sauter par-dessus le ruisseau.
Ah, c’est donc celui-là qui s’est avisé de me supprimer de sa liste sans me dire pourquoi. Je l’avais oublié, tiens, et vous venez me le rappeler !
" Car, si quelqu'un de vous, d'un bras profanateur, / attentait sur ce don offert à la déesse, / bientôt, assouvissant sa fureur vengeresse, / ( Dieux puissants, sur les Grecs détournez son courroux ! ) / d'épouvantables maux éclateraient sur vous. / Mais, si vos murs s'ouvraient à ce don tutélaire, / sur nous-mêmes dès lors renvoyant sa colère, / vous dompteriez la Grèce, et votre empire heureux / s'étendrait à jamais sur nos derniers neveux. "
" Que les dieux, s'il en est qui vengent l'innocence, / t'accordent, malheureux ! ta juste récompense ; / toi qui d'un sang chéri souilles mes cheveux blancs, / qui sous les yeux d'un père égorges ses enfants. "
" Mais du moment funeste / qu'Ulysse, de forfaits détestable inventeur, / que le fils de Tydée, affreux profanateur, / osèrent, à travers la garde massacrée, / enlever sur l'autel son image sacrée, / et que leur bras sanglant d'un sacrilège affront / souilla les saints bandeaux qui couronnent son front, / dès lors plus de succès, plus d'espoir ; la déesse / à son triste destin abandonna la Grèce. / Plus d'un signe effrayant signala son courroux. "