Examples of using "Ass" in a sentence and their french translations:
Beau cul !
Mon cul !
- Lèche-cul.
- Lèche-bottes.
- Bouge-toi les fesses !
- Bouge-toi le cul !
- Bougez-vous les fesses !
- Bougez-vous le cul !
- Tu m'as sauvé la peau.
- Vous m'avez sauvé la peau.
- Tu m'as empoigné les fesses !
- Vous m'avez empoigné les fesses !
Il m'a empoigné les fesses !
Elle m'a empoigné les fesses !
- Il m'a claqué les fesses.
- Il me claqua les fesses.
- C'est un âne.
- C'est un idiot.
- Monte là-dedans.
- Grimpe là-dedans.
- Enfile-toi là dedans.
- Va te faire mettre !
- Va te faire enculer !
Magne-toi le cul !
Il a un beau cul.
Ramène ton cul !
Elle a un joli cul.
Je travaille jusqu'à plus soif.
Eugènie a un gros cul.
C'est une emmerdeuse.
Enfonce-toi un bâton dans le cul.
Je vais te botter le cul !
Ont-ils un cul pour nous?
Je vais m'arracher le cul pour étudier.
- Tu es un véritable emmerdeur.
- Vous êtes un véritable emmerdeur.
- Tu es une véritable emmerdeuse.
- Vous êtes une véritable emmerdeuse.
C'est une vraie plaie.
Tom est ennuyeux.
Et tu le savais, gros malin ?
J'ai du quinoa qui sort de mon cul.
Ouah, Marie c'est une chaudasse.
Bouge tes fesses et vas-y !
J'avais envie de te prendre par derrière.
Bouge-toi le cul !
Cet homme politique n'est rien de plus qu'un lèche-cul.
Mon cœur est français mais mon cul est international !
Ne déconne pas ! Il en va de mes fesses.
Qu'elle s'y colle !
Il m'a offensé et m'a traité d'âne.
"Elle avait des seins énormes ou un cul tellement énorme."
- C'est un tel emmerdement.
- C'est une vraie plaie.
Déjà fatigué, un âne transpire sous le poids de lourds sacs de grains.
Quand la poule pond, c'est le coq qui a mal au cul.
Retourne au travail.
Tu m'avais dit que tu avais un beau cul. Publicité mensongère, alors ?
Retourne au travail.
J'aime pas les lèche-culs.
J'avais envie de te prendre par derrière.
Le repas copieux pris et son cartable fin prêt, Link chercha in extremis du réconfort auprès de ses amis. "Zelda, j'ai besoin de conseils." "Tu n'as quand même pas déjà peur", dit Zelda, renfrognée. "Non. Je veux juste l'avis de quelqu'un qui a déjà été au lycée et tu es la personne la plus intelligente que je connaisse !" Link sourit. Zelda laissa échapper un léger rire. "Merci. Toi alors..." "Les profs sont d'une sévérité à couper le souffle !" interrompit le roi d'un sourire malicieux. "Hein ?!" "Père !" s'exclama la princesse d'un ton réprobateur. "Désolé, poursuis." "Donc, Link-" Cette fois, un bruit de klaxon lui coupa la parole. "Ça doit être mon bus qui arrive," dit Link prestement, "Au revoir, tout le monde !" "Gare au hachis surprise !" Gwonam sembla jaillir de nulle part. "Hé, évite d'être touché !" ajouta le Roi et les deux ricanèrent. Link, pris de court, sembla brièvement vexé, mais Zelda lui témoigna son soutien : "Ne t'occupe pas d'eux, Link. Ça ira. J'en suis sûr..." "Ne t'inquiète pas, Zelda. Tout ira bien." Link redevint aussitôt radieux. "Bien. Embrasse-moi avant de partir." Mais Link fit volte-face et rétorqua sournoisement et avec une cruauté d'ado, "Dans tes rêves, princesse ! Voilà longtemps que je n'ai plus d'illusions avec toi. Mais je t'aime toujours," ajouta-t-il après coup avant de quitter le château. "Je ne vois pas ce qui la préoccupe. Tout ira bien" se dit-il en montant dans le bus, confiant.