Translation of "Muero" in French

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Examples of using "Muero" in a sentence and their french translations:

Me muero.

Je meurs.

¡Me muero de hambre!

Je meurs de faim !

¡Me muero de curiosidad!

Je meurs de curiosité !

Me muero del aburrimiento.

Je m'ennuie à en mourir.

Me muero por verte.

- Je désespère de te voir !
- Je désespère de vous voir !

Me muero de frío.

Je meurs de froid.

- Me muero por ver París.
- Me muero de ganas de ver París.

Je meurs d'envie de voir Paris.

- ¡Me muero de hambre!
- Me estoy muriendo de hambre.
- Muero de hambre !

- Je meurs de faim !
- Je crève la dalle !

- Me muero por un trago frío.
- Me muero por una bebida helada.

Je crève d'envie d'une boisson fraîche.

- Me muero.
- Me estoy muriendo.

Je meurs.

¡Me muero por una cerveza!

Ma vie pour une bière !

Me muero por una bebida helada.

Je crève d'envie d'une boisson fraîche.

Me muero por volver a verla.

- J'ai très envie de la revoir.
- Je crève d'envie de la revoir.

Me muero por tomar un café.

Un royaume pour un café.

Me muero de ganas de vivir contigo.

J'ai hâte de vivre avec toi.

Me muero de ganas de ver París.

Je meurs d'envie de voir Paris.

Me muero por ver la nueva película.

Je meurs d'envie de voir le nouveau film.

Me muero por una taza de café.

Je meurs d'envie d'un café.

Pierdo mis dientes. Yo muero al detalle.

Je perds mes dents. Je meurs en détail.

- ¡Me muero de hambre!
- Estoy muerto de hambre.

- Je meurs de faim !
- J'ai l'estomac dans les talons.
- J'ai la dalle.
- J'ai les crocs.

"Sin vos me muero." "Iré a tu funeral."

« Sans toi je me meurs. » « Je viendrai à tes funérailles. »

Me muero de ganas de ir a Australia.

J'ai très envie d'aller en Australie.

- ¡Me muero de hambre!
- ¡Me estoy muriendo de hambre!

- Je meurs de faim !
- Je crève de faim.

No sé tú, pero yo me muero de hambre.

Je ne sais pas pour toi mais, moi, je crève de faim.

- Me estoy muriendo de sed.
- Me muero de sed.

Je meurs de soif.

Han pasado las horas de la vida, muero de risa.

Les heures de la vie sont passées, je mourrai de rire.

Les tengo un miedo a las serpientes que me muero.

J'ai une peur terrible des serpents.

No sé nada de vos, pero me muero de hambre.

- Je ne sais pas pour toi mais, moi, je crève de faim.
- Je ne sais pas en ce qui te concerne mais, moi, je crève de faim.

- ¡Me muero de hambre!
- Estoy hambriento.
- Estoy muerto de hambre.

- Je meurs de faim !
- Je suis affamé !
- Je suis affamée !

No soporto tu indiferencia. Si me dejas yo me muero.

Je ne supporte pas ton indifférence. Si tu me laisses, je meurs.

Me muero por volver a leer el diario de Ayako.

J'ai hâte de relire le journal d'Ayako.

- Casi me morí.
- Yo casi muero.
- Yo estuve cerca de morir.

Je suis presque mort.

También muero de ganas de que Ud. le pregunte a cualquiera de Uds.

D'ailleurs je meurs d'envie de vous le demander à chacun d'entre vous,

- ¡Me muero de hambre!
- Me estoy muriendo de hambre.
- Tengo mucha hambre.
- Estoy muy hambriento.
- Tengo muchísima hambre.

- J'ai une faim de loup.
- J'ai très faim.
- J'ai la dalle.
- J'ai les crocs.
- Je suis affamée !
- Je crève la dalle.

No obedezco ni demando nada, voy adonde quiero, hago lo que me gusta, ando como puedo, y muero cuando lo necesito.

Je n'obéis ni ne commande à personne, je vais où je veux, je fais ce qui me plaît, je suis comme je peux et je meurs quand il le faut.

- ¡Me muero de hambre!
- ¡Tengo mucha hambre!
- ¡Estoy muerto de hambre!
- Tengo más hambre que Dios talento.
- Tengo más hambre que Carpanta.

- Je suis affamé !
- Je suis affamée !

¡Pero yo la quiero! ¡La necesito! ¡Yo muero! Al pensar en estrecharla entre mis brazos me transporta un furor de alegría, ¡y sin embargo la odio, Spendius! ¡Querría pelearme con ella! ¿Qué puedo hacer? Tengo ganas de venderme para convertirme en su esclavo. ¡Tú ya lo has sido! Podías divisarla, ¡háblame de ella! ¿Acaso no es verdad que cada noche sube a la terraza de su palacio? ¡Ah! ¡Las piedras deben de estremecerse bajo sus sandalias y las estrellas deben de inclinarse para verla!

Mais je la veux ! il me la faut ! j’en meurs ! A l’idée de l’étreindre dans mes bras, une fureur de joie m’emporte, et cependant je la hais, Spendius ! je voudrais la battre ! Que faire ? J’ai envie de me vendre pour devenir son esclave. Tu l’as été, toi ! Tu pouvais l’apercevoir : parle-moi d’elle ! Toutes les nuits, n’est-ce pas, elle monte sur la terrasse de son palais ? Ah ! les pierres doivent frémir sous ses sandales et les étoiles se pencher pour la voir ! »