Examples of using "Juventude" in a sentence and their french translations:
La jeunesse est gaspillée par les jeunes.
Profite de ta jeunesse pendant que ça dure.
Profite de ta jeunesse pendant que ça dure.
Ça me rappelle ma jeunesse.
Je pleure ma jeunesse perdue.
nos enfants, nos jeunes, ne peuvent jamais avancer
Il a fait beaucoup de sport pendant sa jeunesse.
Dans sa jeunesse, ma mère était très belle.
Elle semble avoir été heureuse dans sa jeunesse.
Elle est seulement jalouse de ta jeunesse.
On dit que la jeunesse d'aujourd'hui est apathique.
Nous nous raccrochons encore aux rêves de notre jeunesse.
Lorsque j'entends cette chanson, je me souviens de ma jeunesse.
- Dans notre pays les jeunes ne s'intéressent pas à la politique.
- Les jeunes de notre pays ne s'intéressent pas à la politique.
Nous parlons au nom des jeunes Australiens.
Ne gaspille pas ta jeunesse, autrement tu le regretteras plus tard.
Dans sa jeunesse, ma tante était amoureuse d'un célèbre poète.
Ce forum de la jeunesse se déroule déjà pour la dixième année consécutive.
Si j'avais travaillé dur dans ma jeunesse, j'aurais du succès maintenant.
Il se balada à travers le parc en sifflant un air qu'il avait appris dans sa jeunesse.
Où le plaisir ne coûte rien, la jeunesse n'a rien à perdre.
Prends le conseil des ans avec bienveillance, en rendant avec grâce les armes de la jeunesse.
" Qu'as-tu fait de ton père appesanti par l'âge, / d'une épouse, d'un fils, entourés de carnage, / entourés d'ennemis, et qui, sans mon secours, / par la flamme ou le fer auraient fini leurs jours ? "
La mer rend les vaisseaux à ces tranquilles bords ; / l'hymen promet ses fruits, la terre ses trésors. / Je donne à tous des lois, des champs, des domiciles. / Mais notre sort nous suit dans ces nouveaux asiles : / un air contagieux, exhalant son poison, / charge de ses vapeurs la brûlante saison : / l'eau tarit, l'herbe meurt, et la stérile année / voit sur son front noirci sa guirlande fanée.
Il fuit, le héros reste : on s'étonne, et la foule / admire tant de grâce et tant de majesté. / Vénus même à son fils prodigua la beauté, / versa sur tous ses traits ce charme heureux qui touche : / elle-même en secret d'un souffle de sa bouche / imprime sur son front, allume dans ses yeux, / ce doux éclat qui fait la jeunesse des dieux, / en boucles fait tomber sa belle chevelure, / et pour lui de ses dons épuise sa ceinture. / C'est un dieu, c'est son fils. Bien moins resplendissant / sort d'une habile main l'ivoire éblouissant ; / ainsi l'art donne au marbre une beauté nouvelle ; / ou tel, entouré d'or, le rubis étincelle.