Examples of using "Deixaram" in a sentence and their french translations:
- Ils me laissèrent partir.
- Elles me laissèrent partir.
- Ils m'ont laissé partir.
- Ils m'ont laissée partir.
- Elles m'ont laissé partir.
- Elles m'ont laissée partir.
- Elles m'ont laissé m'en aller.
- Elles m'ont laissée m'en aller.
- Ils m'ont laissé m'en aller.
- Ils m'ont laissée m'en aller.
- Ils me laissèrent m'en aller.
- Elles me laissèrent m'en aller.
Ils rendaient dingues les adultes.
Ils m'ont interdit, laissez-moi revenir dans, m'a interdit, laissez-moi revenir,
La porte a été laissée ouverte.
On m'a laissé derrière.
Elles rendaient l'espoir à Tom.
Les nouvelles m'ont rendu heureux.
arrêtèrent de se parler pour toujours.
Les Anglo-Saxons les ont laissés partir.
Mes parents me laissent y aller.
À ses mots, je restais sans voix.
Elles me laissèrent choisir un cadeau.
Mes doigts ont laissé des traces sur le verre.
De nombreux jeunes gens n'écoutent plus la radio.
et puis ils nous laissent rentrer
Ils restèrent bouche bée.
Ils l'ont laissée l’épouser.
Tu m'as rendu fier.
Il courut aussi vite que ses jambes purent le porter.
m'a interdit et ils me laissent revenir
qui a laissé des commentaires, il nous aide vraiment beaucoup,
qui a quitté leur commentaires, ils ont été incroyables.
Les femmes ont arrêté de travailler.
Ils abandonnaient les mauvaises habitudes.
Elles abandonnaient les mauvaises habitudes.
Sur les deux millions de personnes qui ont quitté le Vénézuéla durant cette crise
Thomas et Marie étaient tous les deux absents aujourd'hui.
Pourquoi m'avez-vous laissé dormir si longtemps ?
- Tout le monde dans la pièce poussa un soupir de soulagement.
- Tout le monde dans la pièce a poussé un soupir de soulagement.
Vous abandonniez les mauvaises habitudes.
Voyant le noble feu qui brûle dans leur sein : / " Cœurs généreux, hélas ! et généreux en vain, / vous le voyez : la flamme en tous lieux se déploie ; / comme nous asservis, les faibles dieux de Troie / de leurs temples brûlants ont quitté les autels. / Les dieux nous ont trahis ; et nous, faibles mortels, / nous secourons des murs qu'ils ne purent défendre ! / Qu'importe, amis ? mourons dans nos remparts en cendre, / mourons le fer en main, voilà notre devoir. "