Translation of "Généreux" in Portuguese

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Examples of using "Généreux" in a sentence and their portuguese translations:

Tom est très généreux.

Tom é extremamente generoso.

C'est un geste généreux.

- É um gesto generoso.
- Este é um gesto generoso.

- Tu es généreux.
- Vous êtes généreux.
- Tu es généreuse.
- Vous êtes généreuse.

És generoso.

Essaie d'être généreux et pardonne.

Tente ser generoso e perdoe.

Il est toujours généreux envers les pauvres.

Ele é sempre generoso com os pobres.

Les gens généreux font de mauvais commerçants.

- As pessoas generosas são maus comerciantes.
- As pessoas generosas não se podem tornar bons comerciantes.

Les esprits généreux jugent tout par eux-mêmes.

Os espíritos generosos julgam tudo por si mesmos.

Je me suis toujours dit qu'il faut être généreux.

Eu sempre digo a mim mesmo para ser tolerante.

Si vous avez la possibilité de faire des gestes de générosité, c'est le bon moment pour être généreux.

Se você pode ser generoso, agora é a hora de ser generoso.

" Mais vous, si je vous sers, ô généreux Troyens ! / si je sauve vos jours, qu'on épargne les miens ! "

"Espero apenas, Troia, que mantenhas / a palavra empenhada e me sejas leal, / eis que também te presto importante serviço, / revelando a verdade que te salva."

Voyant le noble feu qui brûle dans leur sein : / " Cœurs généreux, hélas ! et généreux en vain, / vous le voyez : la flamme en tous lieux se déploie ; / comme nous asservis, les faibles dieux de Troie / de leurs temples brûlants ont quitté les autels. / Les dieux nous ont trahis ; et nous, faibles mortels, / nous secourons des murs qu'ils ne purent défendre ! / Qu'importe, amis ? mourons dans nos remparts en cendre, / mourons le fer en main, voilà notre devoir. "

Vendo-os assim reunidos e dispostos / a lutar, lhes falei: “Bravíssimos guerreiros! / Bem podeis ver qual é a nossa situação: / todos os deuses que este império sustentavam / já nos deixaram, desertando de seus templos, / de seus altares; socorreis em vão / uma cidade em chamas. Se estais mesmo / determinados a seguir alguém / pronto ao máximo ousar, então que nos lancemos / ao mais aceso da refrega e pereçamos."

" Fils d'Anchise, pourquoi, souillant des mains si pures, / viens-tu troubler mon ombre et rouvrir mes blessures ? / Hélas ! respecte au moins l'asile du trépas ; / d'un insensible bois ce sang ne coule pas. / Cette contrée a vu terminer ma misère ; / mais celle où tu naquis ne m'est point étrangère : / épargne donc ma cendre, ô généreux Troyen ! / Ma patrie est la tienne, et ce sang est le mien. / Ah ! fuis ces lieux cruels, fuis cette terre avare : / j'y péris immolé par un tyran barbare. / Polydore est mon nom ; ces arbustes sanglants / furent autant de traits qui percèrent mes flancs. / La terre me reçut ; et, dans mon sein plongée, / leur moisson homicide en arbres s'est changée. "

“Por que razão, Eneias, dilaceras / este infeliz? Oh, deixa-me sepulto! / Evita conspurcar as mãos piedosas. / Não sou estranho para ti – gerou-me Troia – / nem da planta este humor está manando. / Oh! Foge destas plagas desumanas, / foge da terra da cobiça e da avareza. / Sou Polidoro: neste sítio me prostraram / sob uma chuva de assassinas flechas, / hoje em pontudas hastes convertidas.”

Didon les fait d'abord admettre en sa présence. / À peine au bruit confus succède le silence, / celui dont l'âge mûr a mérité leur choix, / Ilionée, ainsi fait entendre sa voix : / " Grande reine ! dit-il d'un ton plein de noblesse, / vous dont ces murs naissants attestent la sagesse, / et qui, donnant des mœurs à ce peuple indompté, / avez au frein des lois asservi sa fierté, / d'un peuple généreux, que le malheur accable, / vous voyez devant vous le reste déplorable ; / il vient vous implorer. À peine nos vaisseaux / échappaient aux fureurs et des vents et des eaux, / une troupe ennemie, au sortir du naufrage, / a menacé des feux ce qu'épargna l'orage. / O reine ! ouvrez l'oreille à nos cris douloureux ; / sachez ce qu'on nous doit, en sachant qui nous sommes. "

Lá chegando, / e tendo sido autorizados a falar / à soberana, Ilioneu, que era o mais velho, / proferiu calmamente estas palavras: / “Ó rainha, a quem Júpiter concede / erguer nova cidade e impor das leis o freio / ao orgulho de indômitas nações, / atende aos rogos dos troianos infelizes, / que os mares cruzam à mercê dos ventos: / livra do incêndio criminoso nossas naves, / poupa este povo ordeiro e de bom coração, / e com carinho estuda nossa causa".