Examples of using "Weakness" in a sentence and their french translations:
- Surmonte la faiblesse.
- Surmontez la faiblesse.
- Vaincs la faiblesse.
- Vainquez la faiblesse.
est un signe de faiblesse
malgré la faiblesse de son corps.
- L'orgueil est la faiblesse de l'homme.
- L'orgueil de l'homme est sa faiblesse.
Ma plus grande faiblesse est mon impatience.
- Vous tirez avantage de sa faiblesse.
- Tu tires avantage de sa faiblesse.
Il la réprimanda pour sa faiblesse d'esprit.
Ne tire pas avantage des faiblesses des autres.
Anne a un faible pour le chocolat.
J'ai la faiblesse des devoirs.
John a tiré avantage de la faiblesse de Bill.
Faiblesse cardiovasculaire. Alfred Ledermann avait 20 ans.
Pouvoir montrer la faiblesse est une force.
Seul le silence est grand, tout le reste est faiblesse.
On ne doit pas tirer avantage des faiblesses des autres.
Vous pouvez dire que c'est peut-être une faiblesse
Il s'appelle Diplodia Pilz. Ceci est un parasite de faiblesse.
Un homme est bien fort quand il s'avoue sa faiblesse.
Le guerrier connaît à la fois ses forces et ses faiblesses.
Anne a un faible pour le chocolat.
Aux yeux de beaucoup de gens, la pauvreté est bien pire que vice : elle est faiblesse.
Tom n'admet jamais qu'il a tort, parce qu'il pense que c'est un signe de faiblesse.
His main weakness was his severe and blunt manner which won few friends, and left some
Telle est la faiblesse de notre raison : elle ne sert le plus souvent qu'à justifier nos croyances.
Anne a un faible pour le chocolat.
Tous les philosophes, mêmes les plus célèbres, ont la même faiblesse : la foi en la philosophie.
Même à la fin du dix-neuvième siècle, les marins de la marine britannique n'étaient pas autorisés à utiliser des couteaux et des fourchettes parce que c'était considéré comme un signe de faiblesse.
Les Français et les Anglais aiment bien boire, mais ceux-ci préfèrent la bière tandis que ceux-là ont un faible pour le vin rouge.
Malgré une supposition flatteuse du contraire, les gens s'accommodent facilement du pouvoir. Il y a peu de raisons de penser que le pouvoir des grands banquiers, alors qu'on les soupçonnait de l'avoir, était très mal vu. Mais comme en témoigneront les fantômes de nombreux tyrans, de Jules César à Benito Mussolini, les gens se montreront impitoyables envers ceux qui, ayant eu le pouvoir, l'ont perdu ou ont fini dans la déchéance. Puis à la colère contre l'arrogance passée s'ajoute le mépris de la faiblesse présente. La victime ou son cadavre subit toutes les indignités possibles.