Examples of using "Gore" in a sentence and their french translations:
Al Gore est un activiste contre le réchauffement planétaire.
Du premier arbrisseau que mon effort détache, / un suc affreux jaillit sous la main qui l'arrache, / et rougit, en tombant, le sol ensanglanté.
" Sur un nuage ardent, au sommet de ces tours, / regarde : c'est Pallas, dont la main homicide / agite dans les airs l'étincelante égide. "
Sa barbe hérissée, et ses habits poudreux, / le sang noir et glacé qui collait ses cheveux, / ses pieds qu'avaient gonflés, par l'excès des tortures, / les liens dont le cuir traversait leurs blessures ; / son sein encor percé des honorables coups / qu'il reçut sous nos murs en combattant pour nous : / tout de ses longs malheurs m'offrait l'image affreuse.
Déjà d'un doux repos je savourais les charmes, / quand je crus voir Hector, les yeux noyés de larmes, / pâle, et tel qu'autrefois sur la terre étendu, / au char d'un fier vainqueur tristement suspendu, / hélas ! et sous les tours de Troie épouvantée / il marquait de son front l'arène ensanglantée.
Tout à coup par des cris dans l'ombre redoublés / au palais de Priam nous sommes appelés. / C'est là que nous trouvons le plus affreux carnage.
" Ô ma mère ! ô Vénus ! quoi ! ton cruel secours / de la flamme et du fer n'a donc sauvé mes jours / que pour voir, ô douleur ! ô désespoir extrême ! / dans son dernier abri périr tout ce que j'aime, / et mon fils, et ma femme, et mon père, grands dieux ! / dans le sang l'un de l'autre immolés à mes yeux ! "
" Mais avant, meurs ! " Il dit ; et, d'un bras sanguinaire, / du monarque traîné par ses cheveux blanchis, / et nageant dans le sang du dernier de ses fils, / il pousse vers l'autel la vieillesse tremblante ; / de l'autre, saisissant l'épée étincelante, / lève le fer mortel, l'enfonce, et de son flanc / arrache avec la vie un vain reste de sang.
" Dans ces extrémités, incertains que résoudre, / tremblants, nous envoyons interroger Délos, / et le trépied fatal nous répond en ces mots : / " Par le sang d'une vierge offerte en sacrifice, / la Grèce à son départ obtint un vent propice : / il faut encor du sang ; et d'un Grec à son tour, / la mort doit de sa flotte acheter le retour... "
Lui, dégouttant de sang, souillé de noirs poisons, / qui du bandeau sacré profanent les festons, / raidissant ses deux bras contre ces nœuds terribles, / exhale sa douleur en hurlements horribles.
Pyrrhus le suit ; déjà, tout bouillant de furie, / il le presse, il le touche, il l'atteint de son dard : / enfin au saint autel, asile du vieillard, / son fils court éperdu, tend les bras à son pére, / hélas ! et dans son sang tombe aux pieds de sa mère.