Examples of using "Fresca" in a sentence and their french translations:
Tu bois de l'eau fraîche.
La nuit était fraîche.
- Ne touche pas à la peinture fraîche.
- Ne touchez pas à la peinture fraîche !
La nourriture fraîche est merveilleuse.
L'eau est d'une fraîcheur délicieuse.
J'ai une envie irrésistible de fruits frais.
- Nous mangeâmes des fruits frais après le déjeuner.
- Nous mangeâmes des fruits frais après le dîner.
- Nous avons mangé des fruits frais après le déjeuner.
- Nous avons mangé des fruits frais après le dîner.
- Il y a de la peinture fraîche sur la porte.
- La porte est peinte de frais.
cet autre cause, il semble plus cool.
Les fruits frais sont bons pour ta santé.
La vue du homard frais me donna de l'appétit.
Je n'achète que des légumes frais, jamais de légumes surgelés.
Nous avons profité de la brise fraîche qui venait de la rivière.
C'est super de skier sur de la neige fraîche.
- Une couche de neige fraîche recouvrait la rue.
- Une pellicule de neige fraîche recouvrait la rue.
Les fruits frais sont bons pour ta santé.
Ils sont restés au frais, mais ils ont été détruits.
Un employé de l'aéroport avait fait le plein d'eau fraîche
Par ici il y a habituellement une brise fraîche le soir.
et les médicaments étaient bien au frais dans la grotte.
Ils resteront bien au frais, à l'ombre, enterrés dans la boue.
- Les fruits frais et les légumes sont bons pour votre santé.
- Les fruits et les légumes frais sont bons pour votre santé.
- Les fruits frais et les légumes sont bons pour la santé.
Les fleurs et les arbres ont besoin d'air pur et d'eau fraîche.
La vague exhalaison du sang fraîchement versé flottait dans l'air.
Mais avant, on doit s'occuper des médicaments et faire en sorte qu'ils restent au frais.
Les médicaments vont se perdre. Il faudra trouver un moyen de les garder au frais.
Les médicaments vont se perdre. Il faudra trouver un moyen de les garder au frais.
Dans une mine souterraine, il peut faire 10 à 15 degrés de moins qu'à la surface.
Sancho s’enfonça dans les gorges de la montagne, laissant ses deux compagnons au milieu d’une étroite vallée, où courait, en murmurant, un petit ruisseau, et que couvraient d’une ombre rafraîchissante de hautes roches et quelques arbres qui croissaient sur leurs flancs. On était alors au mois d’août, temps où, dans ces parages, la chaleur est grande, et il pouvait être trois heures de l’après-midi. Tout cela rendait le site plus agréable, et conviait nos voyageurs à y attendre le retour de Sancho. Ce fut aussi le parti qu’ils prirent.