Examples of using "Incêndio" in a sentence and their french translations:
- Feu !
- Au feu !
Tom a provoqué l'incendie.
un grand incendie s'est déclaré
L'alarme-incendie sonna.
Tom la sauva des flammes.
Le feu a réduit en cendres dix maisons.
mais un si grand incendie a éclaté
Hier, un incendie a éclaté dans le voisinage.
- En cas d'incendie, appelez le 119.
- En cas d'incendie, composez le 119.
La cause de l'incendie est inconnue.
L'incendie c'est propagé très vite.
L'origine de l'incendie est inconnue.
La cause de l'incendie était connue.
Après le tremblement de terre, il y a eu un incendie.
Ne pas utiliser l'ascenseur en cas d'incendie.
Quatre familles ont péri dans l'incendie.
- Un feu éclata au milieu de la ville.
- Un feu se déclara au cœur de la ville.
- Le feu s'est déclenché dans la chambre de Tom.
- L'incendie a éclos dans la chambre de Tom.
- L'incendie s'est déclaré dans la chambre de Tom.
- L'incendie a pris dans la chambre de Tom.
- L'incendie a pris naissance dans la chambre de Tom.
- L'incendie a démarré dans la chambre de Tom.
- L'incendie a débuté dans la chambre de Tom.
- L'incendie a commencé dans la chambre de Tom.
Aucun des vieux arbres ne survécut à l'incendie.
En cas d'incendie, appuyez sur le bouton.
Une foule importante s'est rassemblée sur le lieu de l'incendie.
Un feu s'est déclenché dans mon quartier la nuit dernière.
En cas d'incendie, veuillez utiliser cette sortie.
La nuit dernière, il y a eu un incendie dans le voisinage.
Ne pas utiliser l'ascenseur en cas d'incendie.
Le détecteur de fumée n'a jamais été entretenu.
L'incendie est venu très près des immeubles résidentiels.
Après un nouveau gaspillage, encore un incendie
D'après le journal, il y a eu un grand incendie à Boston.
Il y a un feu dans le bâtiment. Nous devons évacuer immédiatement.
Il y a un incendie dans l'immeuble. Nous devons évacuer immédiatement.
Si un incendie se déclarait, je m'échapperais avec ma flûte.
- Que faire en cas d’incendie ?
- Comment réagir en cas d’incendie ?
Deux trains de pompiers ont été envoyés sur le site de l'incendie.
Il y a eu un gros incendie près de chez moi hier soir.
Un feu peut se propager plus rapidement qu'on ne peut courir.
La nuit dernière, il y a eu un incendie et je n'ai pas pu dormir.
Les pompiers étaient sur place moins de cinq minutes après avoir reçu l'appel.
Un petit feu de forêt peut facilement se répandre et rapidement devenir un grand incendie.
Je restais seul... Des feux les lugubres clartés / guidaient mes pas tremblants et ma vue incertaine, / lorsqu'aux pieds de Vesta je vois l'affreuse Hélène.
" Entends-moi donc : ce fils, si cher à mon amour, / Ascagne, par son père attendu dans ce jour, / se prépare à porter aux remparts de Carthage / les restes précieux des feux et du naufrage. "
" Ô ma mère ! ô Vénus ! quoi ! ton cruel secours / de la flamme et du fer n'a donc sauvé mes jours / que pour voir, ô douleur ! ô désespoir extrême ! / dans son dernier abri périr tout ce que j'aime, / et mon fils, et ma femme, et mon père, grands dieux ! / dans le sang l'un de l'autre immolés à mes yeux ! "
Tel, au sein des moissons quand la flamme rapide, / au gré des vents s'élance : ou lorsqu'à gros bouillons, / engloutissant l'espoir de nos riches sillons, / entraînant les forêts dans ses vagues profondes, / un torrent en grondant précipite ses ondes ; / le berger s'épouvante, et d'un roc escarpé / prête de loin l'oreille au bruit qui l'a frappé.
" Qui ne connaît Énée et ses vertus guerrières, / Ilion, ses combats, leur long acharnement, / et du monde ligué le vaste embrasement ? / Vous n'êtes point ici chez un peuple sauvage : / le soleil de si loin n'éclaire point Carthage. "
Quoi ! le sang regorgea sur ces bords malheureux ; / Priam meurt sous le fer, Ilion dans les feux ; / et, fière de nos maux, la détestable Hélène, / dans les remparts d'Argos rentrant en souveraine, / ira, foulant des fleurs sous ses pas triomphants, / retrouver son palais, ses aïeux, ses enfants ! / et, d'esclaves Troyens en pompe environnée, / des trésors d'Ilion marchera couronnée !
La nuit couvrait le ciel ; tout dormait, quand mes dieux, / ravis dans Troie en cendre à la fureur des feux, / aux rayons de Phébé qui brillait tout entière, / m'apparaissent en songe, éclatants de lumière, / consolent mes chagrins, et m'adressent ces mots :
Didon les fait d'abord admettre en sa présence. / À peine au bruit confus succède le silence, / celui dont l'âge mûr a mérité leur choix, / Ilionée, ainsi fait entendre sa voix : / " Grande reine ! dit-il d'un ton plein de noblesse, / vous dont ces murs naissants attestent la sagesse, / et qui, donnant des mœurs à ce peuple indompté, / avez au frein des lois asservi sa fierté, / d'un peuple généreux, que le malheur accable, / vous voyez devant vous le reste déplorable ; / il vient vous implorer. À peine nos vaisseaux / échappaient aux fureurs et des vents et des eaux, / une troupe ennemie, au sortir du naufrage, / a menacé des feux ce qu'épargna l'orage. / O reine ! ouvrez l'oreille à nos cris douloureux ; / sachez ce qu'on nous doit, en sachant qui nous sommes. "