Examples of using "Violenza" in a sentence and their french translations:
Vous détestez la violence, n'est-ce pas ?
Il déteste la violence.
Je déteste la violence.
Peut-on justifier l'usage de la violence ?
Nous éprouvons une aversion pour la violence.
une crise de la violence
Nous rejetons la violence.
Nous ne devrions pas recourir à la violence.
Elle a été victime de violence domestique.
Nous n'aimons pas la violence.
Tom a horreur de la violence.
Elle a été victime de violence domestique.
sont attirés par l'extrémisme et la violence.
Tandis que Napoléon répliquait par une tempête d'activités.
La violence ne sera pas tolérée.
Pourquoi y a-t-il autant de violence dans le monde?
L'éducation est le meilleur antidote contre la violence.
Ils sont fascinés par le sang et la violence.
Nous n'aimons pas la violence.
La violence envers qui que ce soit est inacceptable.
Nous avons appris la violence de vous.
La violence débute où s'arrête la parole.
Ne cherche pas d'issue dans la violence.
La violence est le seul langage qu'ils comprennent.
avant qu'ils ne deviennent soit les victimes, ou les auteurs de violence ?
Vos paroles sont une forme de violence.
Il nous faut faire notre possible pour faire cesser la violence.
La violence à l'école est un gros problème.
Il aime jouer avec brutalité.
Qu'est-ce que tout cela nous apprend sur le sujet de la violence politique ?
ou ont fui la violence et le pillage de la guerre.
La violence commence là où la patience s'arrête.
les mentalités qui permettent cette violence sont les mêmes.
Les jeunes me disent également qu'ils s'inquiètent de la violence.
Je pouvais voir que comprendre est la réponse, plutôt que la violence :
À long terme, vengeance et violence ne marcheront pas contre les extrémistes.
Être un mâle est de loin le plus grand facteur de risque de violence.
idées intéressantes pour étayer son argument selon lequel la violence est en déclin historique à long terme.
La violence sectaire, désormais omniprésente, est le produit des tensions croissantes entre les différents groupes ethniques du pays.
Les filles sont plus à même que les garçons d'être mal nourries, de souffrir de pauvreté, de faire face à la violence et de se voir refuser une éducation, d'après un nouveau rapport.
Le racisme, le colonialisme et la violence barbare qui s'abattent contre les Palestiniens dans leur propre pays sont injustifiables et condamnables dans un monde civilisé et les Palestiniens auront toujours un droit inaliénable de retourner dans la terre de leurs ancêtres, d'y vivre et d'y exister en paix.
De même que, en temps de guerre, officiers et soldats se sentent autorisés par l’opinion générale à commettre des actes qui, en temps de paix, sont tenus pour criminels, de même les révolutionnaires, dans leur lutte, se regardaient comme couverts par l’opinion de leur cercle, en vertu de laquelle les actes de cruauté qu’ils commettaient étaient nobles et moraux, étant commis par eux au prix de leur liberté, de leur vie, de tout ce qui est cher à la plupart des hommes. Ainsi s’expliquait, que des personnes excellentes, incapables non seulement de causer une souffrance, mais même d’en supporter la vue, pussent se préparer tranquillement à la violence et au meurtre, et professer la sainteté de tels actes, considérés comme moyens de défense, ou encore comme instrument utile à la réalisation d’un idéal de bonheur pour l’humanité.