Examples of using "Hetente" in a sentence and their french translations:
Nous nous retrouvions toutes les semaines,
- Ils se rencontrent une fois par semaine.
- Ils se voient une fois par semaine.
Je nage une fois par semaine.
Je cours deux fois par semaine.
- Elle va à la librairie une fois par semaine.
- Elle se rend une fois par semaine à la librairie.
Je la rencontre une fois par semaine.
Elle va au cinéma une fois par semaine.
Son père mange là deux fois par semaine.
On me le dit au moins une fois par semaine.
Elle a écrit à ses parents au moins une fois par semaine.
Je lave ma voiture une fois par semaine.
- Combien de fois par semaine mangez-vous en ville ?
- Combien de fois par semaine mangez-vous à l'extérieur ?
Combien de fois par semaine mangez-vous à l'extérieur ?
Ma sœur prend des leçons de piano deux fois par semaine.
Son père mange là deux fois par semaine.
Des centaines de nouveaux cas se déclaraient chaque semaine.
Mon père m'alloue une somme de dix dollars par semaine.
J'ai vu grand-père deux ou trois fois par semaine.
Elle va au cinéma une fois par semaine.
Je mange de la viande trois fois par semaine.
Tom prend son déjeuner à la cafétéria de l'école deux ou trois fois par semaine.
ce qu'il fait environ une fois par semaine au pied d'un arbre.
Les éboueurs passent trois fois par semaine.
Il n'y a pas, à ce stade de l'histoire mondiale aux États-Unis d'Amérique, de chose telle qu'une presse indépendante. Vous le savez et je le sais. Il n'y a pas un de vous qui ose écrire ses franches opinions, et si vous le faisiez, vous savez d'avance qu'elles ne seraient jamais publiées. Je suis hebdomadairement payé pour tenir mes franches opinions à distance du journal auquel je suis lié. D'autres d'entre vous reçoivent de mêmes émoluments pour des choses similaires, et n'importe lequel d'entre vous qui serait assez bête pour écrire de franches opinions serait à la rue à chercher un autre emploi. Si je laissais mes franches opinions être publiées dans l'une des parutions de mes journaux, mon emploi s'évaporerait avant vingt-quatre heures. Le boulot du journaliste est de détruire la vérité, de mentir effrontément, de pervertir, de diaboliser, de lécher les pieds de Mammon et de vendre son pays et sa race pour gagner son pain quotidien. Vous le savez et je le sais, et quelle folie est cette célébration d'une presse indépendante ? Nous sommes des pantins, ils tirent les ficelles et nous dansons. Nos talents, nos possibilités et nos vies sont tous la propriété d'autres hommes. Nous sommes des prostitués intellectuels.