Examples of using "állok" in a sentence and their french translations:
Je me tiens debout.
- Je me tiens à votre disposition.
- Je suis à ta disposition.
- Je suis à votre service.
- Je suis à ton service.
- Je suis à ta disposition.
- Je suis à votre disposition.
Je resterai debout.
Je suis en train de perdre.
- Je suis prête !
- Je suis prêt !
- Je gagne.
- Je l'emporte.
- Je suis prêt pour demain.
- Je suis prête pour demain.
- Je me sens prêt.
- Je me sens prête.
Je suis prêt.
Quand je suis derrière l'appareil,
Je suis en guerre avec vous.
Je suis prêt.
Je me tiendrai à ton côté, quoi qu'il advienne.
- et aussi le fait de me tenir face à vous aujourd'hui -
Je suis prêt à démarrer.
Tu as tué mon père, et aujourd'hui je m'en vengerai.
Je suis excité et prêt à partir.
J'ai l'opinion opposée.
Et je suis toujours là, debout devant vous,
Je m'étais promis de ne jamais lui reparler.
- Je suis de votre côté.
- Je suis à ton côté.
- Je suis à votre côté.
- Je suis à tes côtés.
- Je suis à vos côtés.
- Je suis avec vous.
- Je suis avec toi.
- Je suis de ton côté.
Dans mon souvenir le plus net, je me tenais dans le couloir vide
Depuis que Mario m'a menti, je ne lui adresse plus la parole.
J'ai peu d'argent.
- Je te fournirai toute l'aide possible.
- Je t'apporterai toute l'aide possible.
Chaque fois que je rejoins une partie de Warcraft, je suis opposé à une nouvelle équipe d'adversaires.
Je ne vous traite pas comme des ennemis.
Il n'y a pas, à ce stade de l'histoire mondiale aux États-Unis d'Amérique, de chose telle qu'une presse indépendante. Vous le savez et je le sais. Il n'y a pas un de vous qui ose écrire ses franches opinions, et si vous le faisiez, vous savez d'avance qu'elles ne seraient jamais publiées. Je suis hebdomadairement payé pour tenir mes franches opinions à distance du journal auquel je suis lié. D'autres d'entre vous reçoivent de mêmes émoluments pour des choses similaires, et n'importe lequel d'entre vous qui serait assez bête pour écrire de franches opinions serait à la rue à chercher un autre emploi. Si je laissais mes franches opinions être publiées dans l'une des parutions de mes journaux, mon emploi s'évaporerait avant vingt-quatre heures. Le boulot du journaliste est de détruire la vérité, de mentir effrontément, de pervertir, de diaboliser, de lécher les pieds de Mammon et de vendre son pays et sa race pour gagner son pain quotidien. Vous le savez et je le sais, et quelle folie est cette célébration d'une presse indépendante ? Nous sommes des pantins, ils tirent les ficelles et nous dansons. Nos talents, nos possibilités et nos vies sont tous la propriété d'autres hommes. Nous sommes des prostitués intellectuels.