Examples of using "Sought" in a sentence and their french translations:
Mais beaucoup ont cherché son trône.
Sami a cherché à se venger par le meurtre.
Il a immédiatement cherché une réponse.
Il chercha à s'abriter de la pluie.
Tom sollicita l'avis de sa famille.
ses tentatives de maintien des relations internationales
on a cherché à recruter un consultant cinétique
Un fugitif toujours activement recherché : Ratio Mladic.
Elle a cherché le pardon pour ses fautes.
Ils cherchaient tous après l'enfant disparu.
De nombreuses personnes ont recherché cette armée.
Ils sont aujourd'hui recherchés, achetés et étendus sur
Les fans cherchaient à serrer la main de l'actrice.
Nous avons recherché un compromis avec eux.
Certains petits papiers étaient très recherchés, comme ceux de Pépé
Le marbre de Lahn était internationalement connu et recherché.
alors même ceux de qualité moyenne sont prisés.
Dan avait besoin d'argent et a demandé une aide financière auprès de son père.
J'observais ses tentatives d'établir des points communs avec ses collègues
Comme j'ai cherché à en savoir plus sur ce qui fait de moi un homme,
Sur ma couche, la nuit, j'ai cherché celui que mon cœur aime.
On recherche des acteurs de doublage pour la version chinoise du film.
et vise à mieux comprendre le système de gestion des déchets,
que Napoléon cherchait l'armée russe de Bennigsen, dans l'espoir de forcer une bataille décisive.
mille neuf cents Soixante-huit à l'époque, le cheikh Zayed Al Nahyan a cherché
Dans ce cas, le débiteur doit atteindre le résultat recherché par le créancier,
Cela a causé une grave préoccupation pour les autorités Carthaginois, qui ont cherché à restaurer leur popularité
Il cherchait la sérénité, enfermé dans l'étude, loin du bruit et de l'agitation du monde.
Ils cherchaient tous un enfant perdu.
Nous avons recherché un compromis avec eux.
J'arrive enfin, j'arrive au palais paternel ; / je vole vers mon père : ô désespoir cruel ! / Mon père, qu'avant tout doit sauver ma tendresse, / quand je veux au danger dérober sa vieillesse, / refuse de survivre à nos communs malheurs, / et d'aller dans l'exil prolonger ses douleurs.
Mais le ciel ne me l'a point rendue ; / et je ne m'aperçus de ce fatal revers / que lorsque, parvenu sur ces coteaux déserts, / sous l'antique cyprès j'eus déposé mon père. / Je cherche mon épouse, et mon fils une mère : / seule elle était absente.
" Déjà pour vous le ciel m'annonce un sort plus doux ; / et si, par mes parents instruite dès l'enfance, / des augures sacrés j'ai quelque connaissance, / votre flotte est sauvée, et vos amis perdus / a vos embrassements seront bientôt rendus. "
" Dans ces extrémités, incertains que résoudre, / tremblants, nous envoyons interroger Délos, / et le trépied fatal nous répond en ces mots : / " Par le sang d'une vierge offerte en sacrifice, / la Grèce à son départ obtint un vent propice : / il faut encor du sang ; et d'un Grec à son tour, / la mort doit de sa flotte acheter le retour... "
Il veut que par ses mains soient offerts à la reine / les restes somptueux de la grandeur troyenne, / un pompeux vêtement enflé de bosses d'or, / un riche voile, où l'art plus magnifique encor / en flexibles rameaux fait serpenter l'acanthe, / présent que de Pâris la trop funeste amante / tint de Léda sa mère, et qui parait son sein / lorsque Pergame, hélas ! vit son fatal hymen.
" Mais bientôt mon courroux, par d'imprudents éclats, / irrita contre moi l'auteur de son trépas ; / je jurai, si le ciel secondait ma furie, / si je rentrais vainqueur au sein de ma patrie, / je jurai de venger mon déplorable ami. / Delà tous mes malheurs : dès lors, souple ennemi, / Ulysse contre moi chercha partout des armes, / répandit les soupçons, éveilla les alarmes, / et, pour se délivrer d'un reproche importun, / crut qu'un premier forfait en voulait encore un, / en un mot, il fit tant, qu'appuyé du grand prêtre... "
De Ténédos leurs nefs partent sans bruit, / la lune en leur faveur laisse régner la nuit ; / l'onde nous les ramène, et la torche fatale / a fait briller ses feux sur la poupe royale. / À cet aspect, Sinon, que le ciel en courroux, / qu'une folle pitié protégea contre nous, / aux Grecs impatients ouvre enfin la barrière.
Devant lui la déesse abaissant sa hauteur : / " Roi des vents, lui dit-elle avec un air flatteur, / vous à qui mon époux, le souverain du monde, / permit et d'apaiser et de soulever l'onde, / un peuple que je hais, et qui, malgré Junon, / ose aux champs des Latins transporter Ilion, / avec ses dieux vaincus fend les mers d'Étrurie. "