Examples of using "Shrine" in a sentence and their french translations:
Le temple fut érigé il y a deux cents ans.
Plusieurs personnes visitèrent le sanctuaire où le saint était enterré.
Il plut si fort que le sanctuaire fut emporté.
«Hatsumode» est le mot pour désigner la première visite de l'année à un sanctuaire.
L'homme mince se reposa à l'ombre de la chapelle.
Le délabrement du sanctuaire est dû, pour une bonne part, aux pluies acides.
" Approchez : de nos dieux l'autel va nous défendre, / ou sous le même fer nous expirerons tous. "
" Épargne-toi le soin de repasser les flots ; / Apollon nous envoie ; et, ce qu'eût fait entendre / l'oracle de Délos, nous pouvons te l'apprendre. "
Alors dans son palais elle conduit Énée, / et célèbre aux autels cette grande journée.
Il dit, et va chercher au fond du sanctuaire / de la chaste Vesta l'image tutélaire, / et les feux immortels, et le bandeau sacré.
Joie, belle étincelle des dieux, fille de l’Élysée, nous entrons l’âme enivrée dans ton temple glorieux.
" Ici nous ignorons dans quel climat nous sommes ; / ici nous ignorons et les lieux et les hommes : / des honneurs solennels vous paîront vos bienfaits. "
Didon, au centre obscur du bois majestueux, / pour Junon bâtissait un temple somptueux : / plein des plus riches dons, et plein de la déesse, / des colonnes d'airain annonçaient sa richesse ; / l'airain couvrait le seuil de son parvis divin, / et les gonds gémissaient sous des portes d'airain.
" Mais Oreste en fureur, qu'incessamment tourmente / le fouet de Némésis, le regret d'une amante, / jette aux pieds de l'autel son rival égorgé, / et ce rapt criminel par un crime est vengé. "
Enfin, dans les replis de ce couple sanglant, / qui déchire son sein, qui dévore son flanc, / il expire... Aussitôt l'un et l'autre reptile / s'éloigne ; et, de Pallas gagnant l'auguste asile, / aux pieds de la déesse, et sous son bouclier, / d'un air tranquille et fier va se réfugier.
Je dis : et tout à coup je sens de l'immortel / s'agiter le laurier, et le temple, et l'autel. / Le mont tremble ; chacun vers la terre s'incline, / et ces mots sont sortis de l'enceinte divine :
Hélénus, méditant ces mystères profonds, / de sa tête sacrée abaisse les festons, / présente à Jupiter un pompeux sacrifice, / implore d'Apollon la bonté protectrice, / me conduit dans son temple, et me dit :
" Mais avant, meurs ! " Il dit ; et, d'un bras sanguinaire, / du monarque traîné par ses cheveux blanchis, / et nageant dans le sang du dernier de ses fils, / il pousse vers l'autel la vieillesse tremblante ; / de l'autre, saisissant l'épée étincelante, / lève le fer mortel, l'enfonce, et de son flanc / arrache avec la vie un vain reste de sang.
" Vainqueur enfin des mers, d'autres soins te demandent : / des antres cuméens les oracles t'attendent ; / il faut franchir l'Averne, et dans ses sombres bois / de l'antique sibylle interroger la voix. / Au pied de son rocher, sur des feuilles légères / elle écrit nos destins en légers caractères. "