Examples of using "Scarcely" in a sentence and their french translations:
Tom n'a guère reconnu Mary.
Il regarde très rarement la télé.
- Je pouvais à peine le croire.
- Je pourrais à peine le croire.
Il arrive difficilement à écrire son nom.
J'arrive à peine à dormir la nuit.
et le courage, Soult n'a guère de supérieur».
Elle parle difficilement un mot d'anglais.
Je pouvais à peine tenir debout.
À peine s'était-il échappé qu'il fut recapturé.
Nous étions à peine revenus qu'il se mit à pleuvoir.
On dirait qu'il s'en fait rarement pour moi, n'est-ce pas ?
J'étais à peine arrivé à la maison que le téléphone sonnait.
J'ai à peine fermé l'œil.
Le chien m'avait à peine vu qu'il s'est enfui.
J'arrive à peine à croire cela.
Il a à peine dit un mot.
- Ils ont à peine mis le nez dehors depuis que le bébé est né.
- Elles ont à peine mis le nez dehors depuis que le bébé est né.
Sa planète d'origine était à peine plus grande qu'une maison !
Il ne s'écoule pas une heure sans que je pense à toi avec amour.
Je pouvais à peine tenir debout.
J'arrive à peine à le croire.
J'étais à peine arrivé à la maison que le téléphone sonnait.
Nous étions à peine arrivés à l'institut pour les aveugles que j'ai commencé à devenir ami avec les petits enfants aveugles.
Dès que je suis entré dans la classe, les étudiants ont commencé à poser des questions.
Il ne s'écoule pas une heure sans que je pense à toi avec amour.
À peine avait-elle commencé à lire le livre que quelqu'un frappa à la porte.
J'étais à peine arrivé à la maison que le téléphone sonnait.
Il était une fois un petit prince qui habitait une planète à peine plus grande que lui, et qui avait besoin d'un ami...
Les cris et les hurlements affolés du foyer et de ses invités excités rendit la confusion indescriptible lorsqu'on découvrit qu'à peine quoi que ce soit du coûteux immeuble pouvait être sauvé.
Cependant les Troyens, après de longs efforts, / des champs trinacriens avaient rasé les bords. / Déjà leurs nefs, perdant l'aspect de la Sicile, / voguaient à pleine voile, et de l'onde docile / fendaient d'un cours heureux les bouillons écumants ; / quand la fière Junon, de ses ressentiments / nourrissant dans son cœur la blessure immortelle, / " Quoi ! sur moi les Troyens l'emporteraient, dit-elle ! / Et de ces fugitifs le misérable roi / pourrait dans l'Italie aborder malgré moi ! / Le destin, me dit-on, s'oppose à ma demande : / Junon doit obéir quand le destin commande... "