Examples of using "Plain" in a sentence and their french translations:
Il parle franchement.
- Je préfère les matériaux simples.
- Je préfère les matières simples.
- Je préfère les matériaux épurés.
Il préfère les gens ordinaires et simples, car il est lui-même ordinaire et simple.
certaines personnes sont tout simplement
Expliquez-le avec des mots simples.
Il donne des explications précises, facilement compréhensibles.
C'était juste carrément idiot.
C'est une fille à l'air commun.
Explique-le à l'aide de mots simples.
En clair, cela signifie
C'est clair comme le jour.
Je suis un simple employé de bureau.
La raison en est claire.
- Crois-moi. Ce sera pépère.
- Crois-moi. Ça va se passer en douceur.
Cachés à la vue de tous, ici, à Exeter.
Je parle donc un anglais simple au tribunal.
Elle parle franchement.
Une vaste plaine s'étend au-delà de la rivière.
Je ne suis qu'un simple employé de bureau.
- Laisse-moi expliquer ce que je veux dire.
- Laissez-moi clarifier ce que je veux dire.
Pour ces lunettes, je préférerais une monture simple.
Cassez le chocolat mi-amer en petits morceaux.
Je suis juste un employé de bureau normal.
Cachée sous nos yeux toute notre vie.
C'est très clair que tu as été inattentif.
C’est pas une traduction littérale, c’est juste faux.
Parle clairement !
Explique-le avec des mots simples.
Elle fit clairement comprendre qu'elle voulait l'épouser.
Le meilleur endroit pour cacher quelque chose est sous le nez de tout le monde.
pourrait se trouver éjecté de notre appareil psychique.
- Elle fit clairement comprendre qu'elle voulait aller à la fac.
- Elle fit clairement comprendre qu'elle voulait aller à l'université.
- Elle fit clairement comprendre qu'elle voulait aller à la faculté.
- Elle a fait clairement comprendre qu'elle voulait aller à la fac.
- Elle a fait clairement comprendre qu'elle voulait aller à l'université.
- Elle a fait clairement comprendre qu'elle voulait aller à l'univ.
Ce livre est écrit en anglais très simple et convient donc aux débutants.
Je peux continuer à me cacher au milieu des autres, mais je n'en ai plus envie.
Le plateau de Yarmouk est principalement une plaine plate, parsemée d'affleurements rocheux.
La plaine herbeuse offrait suffisamment de fourrage et plusieurs opportunités pour alimenter les deux armées.
Lorsque l'armée atteignit immédiatement les collines surplombant la plaine du Pharsalus, Pompey
Écrit en style simple, tel qu'il est, son papier est facile à lire.
Deux montagnes et une longue plaine nous séparent, mon ami, chante Cherifa.
Je ne dis rien d'autre que la pure vérité.
Un balourd qui se croit profond est encore pire qu'un balourd de base.
On dit qu'un combat désespéré se développa dans la plaine près de Chéronée, alors
César et Scipion se faisaient face à travers la plaine nord-africaine, mais même si Scipion
La ville était lourdement fortifiée, située au sommet des pentes raides et des falaises, au-dessus de la plaine environnante.
La vaste plaine s'étend à perte de vue, parsemée de bosquets ici et là.
La plupart des choses ordinaires, simples et quotidiennes qu'il désire peut être obtenue par des gens au revenu moyen.
Quatre beaux coursiers blancs, dans la prairie épars, / sont le premier augure offert à nos regards.
C'est peu : pour mieux encore assurer sa victoire, / Cassandre, qu'Apollon nous défendait de croire, / rend des oracles vains que l'on n'écoute pas.
Je me suis fait une règle de ne pas manger trop, car il est évident que trop manger est mauvais pour la santé.
Je me suis fait une règle de ne pas manger trop, car il est évident que trop manger est mauvais pour la santé.
Quand je mourrai, enterrez-moi au milieu de nos plaines, sur un tertre au milieu des steppes de ma si douce Ukraine.
" Sur une vaste mer un long exil t'attend ; / enfin tu parviendras aux rives d'Occident, / dans la riche Hespérie, où de ses belles ondes / le Tibre baigne en paix des campagnes fécondes. "
Tremblant, j'offre mes vœux aux nymphes des bocages, / au fier dieu des combats ; et mes pieux hommages / sollicitent des dieux un présage plus doux.
" Par cette mort sanglante Hélénus en partage / obtint une moitié de son riche héritage, / et du nom de Chaon, né du sang des Troyens, / appela ces vallons les Champs Chaoniens : / Pergame fut le nom que prit la citadelle. "
Je marche vers ces lieux ; mais son œil de plus près / à peine eut reconnu mon visage, mes traits, / distingué mes habits et mes armes troyennes, / elle tombe : son sang s'est glacé dans ses veines. / Elle reste longtemps sans force et sans couleur ; / mais enfin, rappelant un reste de chaleur :
Tel, enfin triomphant de sa digue impuissante, / un fier torrent s'échappe, et l'onde mugissante / traîne, en précipitant ses flots amoncelés, / pâtre, étable et troupeau, confusément roulés.
" Là, des fiers Locriens s'élève la cité ; / là, commandant en paix à l'humble Pétilie, / Philoctète est content d'un coin de l'Italie ; / et, de Salente enfin inondant les sillons, / Idomenée au loin répand ses bataillons. "
" Anténor, de la Grèce affrontant la furie, / a bien pu pénétrer dans les mers d'Illyrie, / a bien osé franchir ce Timave fameux / dont l'onde impétueuse, en torrents écumeux, / par sept bouches sortant et tombant des montagnes, / court d'une mer bruyante inonder les campagnes. "
" Teucer, je m'en souviens, banni de son pays, / dans Chypre, alors soumise à notre obéissance, / vint de Bélus mon père implorer la puissance. / Rempli d'un grand projet, de son état nouveau / il voulait que Bélus protégeât le berceau. "
Là, fuyait désarmé le malheureux Troïle, / faible enfant dont l'audace osa braver Achille ; / à son char suspendu, les rênes à la main, / il emporte le dard enfoncé dans son sein ; / d'un long sillon de sang le trait marque la plaine, / et son front tout poudreux est traîné sur l'arène.
" Souffrez qu'en vos forêts notre triste naufrage / retrouve les secours que nous ravit l'orage. / Si le pieux Énée à nos vœux est rendu, / si dans les champs latins son peuple est attendu, / vers ces bords désirés nous suivrons notre course. "
Bien loin de ma patrie est une vaste terre, / que consacra Lycurgue au grand dieu de la guerre : / dans des temps plus heureux, les dieux hospitaliers / unissaient les Troyens à ces peuples guerriers.
" Ces continents, dit-on, séparés par les ondes, / réunis autrefois, ne formaient qu'un pays ; / mais, par les flots vainqueurs tout à coup envahis, / à l'onde usurpatrice ils ont livré la terre, / dont le double rivage à l'envi se resserre : / ainsi, sans se toucher, se regardent de près, / et les bords d'Hespérie, et l'île de Cérès. / Entr'eux la mer mugit, et ses ondes captives / tour à tour en grondant vont battre les deux rives : / sublime phénomène, étranges changements, / de l'histoire du monde éternels monuments ! "
Achate au chef troyen tient alors ce langage : / " Fils des dieux ! vous voyez, vos vaisseaux sont sauvés, / vos guerriers réunis, vos amis retrouvés : / un seul manque à nos vœux, malheureuse victime, / que la mer à nos yeux engloutit dan l'abîme. / Au discours de Vénus jusqu'ici tout répond. "
Le patriotisme, dans son acception simple, claire et évidente, n'est rien d'autre, aux yeux des dirigeants, qu'un instrument leur permettant d'atteindre des objectifs basés sur leur soif de domination et sur leur égoïsme, tandis qu'aux yeux des administrés, il est le renoncement à la dignité humaine, à la raison, à la conscience, ainsi que leur propre soumission servile à ceux qui sont au pouvoir.
Tel, au sein des moissons quand la flamme rapide, / au gré des vents s'élance : ou lorsqu'à gros bouillons, / engloutissant l'espoir de nos riches sillons, / entraînant les forêts dans ses vagues profondes, / un torrent en grondant précipite ses ondes ; / le berger s'épouvante, et d'un roc escarpé / prête de loin l'oreille au bruit qui l'a frappé.
Quoi ! le sang regorgea sur ces bords malheureux ; / Priam meurt sous le fer, Ilion dans les feux ; / et, fière de nos maux, la détestable Hélène, / dans les remparts d'Argos rentrant en souveraine, / ira, foulant des fleurs sous ses pas triomphants, / retrouver son palais, ses aïeux, ses enfants ! / et, d'esclaves Troyens en pompe environnée, / des trésors d'Ilion marchera couronnée !
" Si d'un peuple proscrit rien ne doit échapper, / si, pour que le destin n'aît plus rien à frapper, / tu veux joindre les tiens aux ruines de Troie, / attends : voici Pyrrhus qui vient chercher sa proie – / Pyrrhus qui fait tomber, sous le glaive cruel, / le fils aux yeux du père, et le père à l'autel : / du meurtre de nos rois encore dégouttante, / bientôt de notre sang sa main sera fumante. "
Voyant le noble feu qui brûle dans leur sein : / " Cœurs généreux, hélas ! et généreux en vain, / vous le voyez : la flamme en tous lieux se déploie ; / comme nous asservis, les faibles dieux de Troie / de leurs temples brûlants ont quitté les autels. / Les dieux nous ont trahis ; et nous, faibles mortels, / nous secourons des murs qu'ils ne purent défendre ! / Qu'importe, amis ? mourons dans nos remparts en cendre, / mourons le fer en main, voilà notre devoir. "
La nuit couvrait le ciel ; tout dormait, quand mes dieux, / ravis dans Troie en cendre à la fureur des feux, / aux rayons de Phébé qui brillait tout entière, / m'apparaissent en songe, éclatants de lumière, / consolent mes chagrins, et m'adressent ces mots :
" Fils des dieux ! / Oui, le ciel te prépare un destin glorieux ; / et, dans le cours changeant de sa marche éternelle, / le sort accomplira cette loi solennelle. / Mais il faut, avant tout, t'indiquer les chemins / des mers à qui tu dois confier tes destins. / Je ne m'étendrai point sur tout ce qui te touche ; / à de plus grands secrets Junon ferme la bouche ; / et la Parque, à mes yeux soulevant le rideau, / n'écarte qu'à demi leur terrestre bandeau. "
Tremblante pour sa gloire, et pour les Grecs qu'elle aime, / se rappelant encor tous ces fameux combats / que pour ces Grecs chéris avait livrés son bras, / une autre injure parle à son âme indignée.