Examples of using "Povo" in a sentence and their french translations:
La démocratie est le gouvernement du peuple, par le peuple, et pour le peuple.
Le peuple a parlé.
Un peuple sans savoir est un peuple sans force.
Le peuple, c'est nous.
Le pouvoir au peuple.
La NASA trompe les gens
Il était adoré par le peuple.
Les gens rejetèrent la constitution.
Le peuple américain mérite mieux.
Le dictateur opprimait le peuple.
donc en fait en tant que peuple
J'ai lutté contre la spoliation du peuple.
Il est aimé de son peuple.
Le peuple chinois est très travailleur.
Les Chinois sont un peuple affable.
Le peuple chinois est très travailleur.
La guerre a unifié le peuple Américain.
il y a un peuple entre les mains de la mafia
Comment le peuple peut-il espérer des meurtriers
Lui-même est le plus grand ennemi de l'homme
La religion est l'opium du peuple.
Les gens se révoltèrent contre le roi.
Cette terre est sacrée pour mon peuple.
Le roi imposa de lourdes taxes sur le peuple.
Les habitants de l'Amérique se sont battus pour leur indépendance.
Les habitants du coin disent avoir vu un OVNI.
vous criez ici en tant que peuple, mais cela ne fonctionne pas
Les habitants de l'Amérique se sont battus pour leur indépendance.
La voix du peuple est la voix de Dieu.
Il était fier d'avoir été choisi par le peuple.
L'âme d'un peuple vit dans sa langue.
Benjamin Netanyahu est le grand ennemi du peuple Juif.
Yahu, en tant que peuple, gardons le contrôle de quelque chose.
Beaucoup ne l'ont même pas pris. L'État a fourni de la nourriture à son peuple
Il aime à dire qu'il est un fils du peuple.
Il se plaît à dire qu'il est issu du peuple.
L'histoire est un roman dont le peuple est l'auteur.
Les populations palestiniennes se font massacrer dans leur propre pays.
Il perdit le respect de son peuple lorsqu'il accepta l'argent.
c'était un film sur les richesses et les aghas qui exploitaient à nouveau le peuple
que le vice-président Mike Pence a décrit au peuple américain de cette façon:
Je vous suis reconnaissant pour votre hospitalité, et l'hospitalité du peuple de l'Égypte.
Le discours artificieux d’un Grec resté dans le camp séduit le peuple.
Cette année-là, Israël se retire de Gaza.
Connaître une langue à fond cela signifie connaître à fond le peuple qui la parle.
Cela montre que l'anglais n'est plus maintenant la langue des seuls habitants de l'Angleterre.
Tellement de membres de notre civilisation feraient bien de vivre quelques temps avec un peuple primitif .
Un dictateur turc imposa à son peuple, sous peine de mort, de s’habiller à l’européenne.
Le sauveur du peuple, qui a même capturé 3 cents entre les mains de la mafia, serait à nouveau la mafia
Les gens craignent la guerre.
Verda Majo était une espérantiste japonaise qui a combattu avec le peuple chinois contre l'impérialisme japonais.
Nous allons nous assurer que personne ne tire avantage du peuple étasunien pour son propre profit à court terme.
De toute façon, je suis ici, dans le Palais du Gouvernement, et je resterai ici pour défendre le Gouvernement que je représente par la volonté du peuple.
Et le mâle incirconcis, qui n’aura pas retranché la chair de son excroissance, sera supprimé lui-même du sein de son peuple pour avoir enfreint mon alliance.
En acceptant l'argent, il perdit le respect des gens.
À peine j'eus calmé ma première épouvante : / sur ces signes affreux du céleste courroux / je consulte les dieux, et mon père avant tous.
Qu'avait encor grossie une foule nouvelle, / femmes, enfants, vieillards, restes infortunés / chargés de leurs débris, à l'exil condamnés.
Parce que nous rejetons la même chose que les gens de toutes les confessions rejettent : L'assassinat d'hommes, de femmes et d'enfants innocents. Et il est de mon premier devoir comme Président de protéger le peuple Étasunien.
"Enfin, je ne veux rien perdre de votre gloire : / reprenez de plus haut cette importante histoire ; / contez-moi d'Ilion les terribles assauts, / et les pièges des Grecs, et leurs mille vaisseaux, / et vos longues erreurs sur la terre et sur l'onde ; / car le soleil sept fois a fait le tour du monde, / depuis que, poursuivi par un sort odieux, / votre noble infortune a fatigué les dieux. "
Le sort de Laocoon, qui avait lancé une javeline contre les flancs du cheval, et que deux serpents dévorent avec ses deux enfants, en présence de tout le peuple troyen, achève de persuader que ce cheval est un monument religieux.
" D'une louve bientôt, sa nourrice sauvage, / Romulus sucera le lait et le courage ; / de lui naîtra la gloire et le nom des Romains : / voilà ceux que j'ai faits les maîtres des humains. / Leur pouvoir sera craint à l'égal du tonnerre, / aussi long que les temps, aussi grand que la terre. "
O vous, cendres de Troie ! et vous, flammes funestes ! / qui de mon Ilion dévorâtes les restes ! / Je vous atteste ici qu'affrontant les combats, / malgré moi le destin me sauva du trépas ; / et, si le sort cruel n'eût conservé ma vie, / que j'avais mérité qu'elle me fût ravie.
Pourtant, à une condition, ces hommes consentent à demeurer avec nous pour former un même peuple : c’est que tout mâle parmi nous soit circoncis comme ils le sont eux mêmes. Leurs troupeaux, leurs possessions, tout leur bétail, n’est il pas vrai, seront à nous.
Peu de temps après, un dictateur turc a décidé que tout son peuple devait s'habiller à la manière européenne. Quiconque désobéit serait mis à mort. Puis le Turc a de nouveau parlé de sa découverte aux astronomes. Et cette fois, ils ont tous cru qu'il disait la vérité.
Nous, le Peuple des États-Unis, en vue de former une Union plus parfaite, d'établir la justice, de faire régner la paix intérieure, de pourvoir à la défense commune, de développer le bien-être général et d'assurer les bienfaits de la liberté à nous-mêmes et à notre postérité, nous décrétons et établissons cette Constitution pour les États-Unis d'Amérique.
Mais un bruit menaçant vient alarmer son âme : / un jour doit s'élever, des cendres de Pergame, / un peuple, de sa ville orgueilleux destructeur, / et du monde conquis vaste dominateur : / du sort impérieux tel est l'ordre suprème.
" Et moi, qui marche égale au souverain des cieux, / moi, l'épouse, la sœur du plus puissant des dieux, / armant contre un seul peuple et le ciel et la terre, / vainement je me lasse à lui livrer la guerre ! / Suis-je encore Junon ? et qui d'un vain encens / fera fumer encor mes autels impuissants ? "
" Qui ne connaît Énée et ses vertus guerrières, / Ilion, ses combats, leur long acharnement, / et du monde ligué le vaste embrasement ? / Vous n'êtes point ici chez un peuple sauvage : / le soleil de si loin n'éclaire point Carthage. "
" Mais, pour mieux vous calmer, je veux de votre Énée / suivre dans tout son cours la haute destinée. / De ce fils, votre amour, cent combats glorieux / signaleront bientôt le bras victorieux. / Vainqueur de l'Ausonie, à ses peuples dociles / il donnera des mœurs, et des lois, et des villes. / Là, tandis que l'état fleurira sous ses lois, / le printemps aux frimas succédera trois fois. "
Il n'y a rien de plus irritant, voire insultant que d'entendre à tout bout de champ « l'armée américaine », « le cinéma américain », « la diplomatie américaine », ... comme si ces choses existaient à l'échelle du continent américain, ou que, soudainement, les frontières du Canada, du Mexique, de la Colombie, du Guatemala, du Pérou, du Brésil ou de l'Argentine avaient cessé d'exister, et leurs peuples et leurs cultures avec eux.
Didon les fait d'abord admettre en sa présence. / À peine au bruit confus succède le silence, / celui dont l'âge mûr a mérité leur choix, / Ilionée, ainsi fait entendre sa voix : / " Grande reine ! dit-il d'un ton plein de noblesse, / vous dont ces murs naissants attestent la sagesse, / et qui, donnant des mœurs à ce peuple indompté, / avez au frein des lois asservi sa fierté, / d'un peuple généreux, que le malheur accable, / vous voyez devant vous le reste déplorable ; / il vient vous implorer. À peine nos vaisseaux / échappaient aux fureurs et des vents et des eaux, / une troupe ennemie, au sortir du naufrage, / a menacé des feux ce qu'épargna l'orage. / O reine ! ouvrez l'oreille à nos cris douloureux ; / sachez ce qu'on nous doit, en sachant qui nous sommes. "
Bien entendu, le peuple ne veut pas de guerre. Pourquoi est-ce qu'un pauvre gueux dans une ferme voudrait risquer sa vie dans une guerre dont il ne peut espérer au mieux qu'il en reviendra entier ? Naturellement, le commun de la population ne veut pas de guerre ; ni en Russie, ni en Angleterre, ni en Amérique, ni, en ce qui nous concerne, en Allemagne. C'est bien entendu. Mais, après tout, ce sont les dirigeants d'un pays qui en déterminent les lignes d'action, et ce n'est jamais qu'une question simple que d'entraîner le peuple, que ce soit dans une démocratie, une dictature fasciste, un Parlement, ou une dictature communiste. [...] Le peuple peut toujours être converti à la cause des dirigeants. Cela est facile. Tout ce qu'il suffit de faire, c'est de leur dire qu'ils sont attaqués et dénoncer les pacifistes pour leur manque de patriotisme qui expose le pays au danger. Cela marche de la même manière dans tous les pays.