Translation of "Fugitif" in Portuguese

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Examples of using "Fugitif" in a sentence and their portuguese translations:

- Le fugitif a traversé la rivière.
- Le fugitif traversa la rivière.

O fugitivo atravessou o rio.

à l'intérieur, Gubbi et les autres agents de la faune installent de larges filets espérant piéger le fugitif.

lá dentro, Gubbi e outros agentes preparam grandes redes com a esperança de apanhar o fugitivo.

La modernité, c'est le transitoire, le fugitif, le contingent, la moitié de l'art, dont l'autre moitié est l'éternel et l'immuable.

A modernidade é o transitório, o fugaz, o contingente, a metade da arte, cuja outra metade é o eterno e imutável.

" Cependant je parcours, fugitif, inconnu, / des déserts où mon nom n'est jamais parvenu ; / et d'une déité la fière jalousie / ferme à mon infortune et l'Europe et l'Asie. "

"De Europa e de Ásia repelido, aqui me encontro, / na condição de estranho e de necessitado, / a percorrer estes desertos líbios”.

" Là, l'oracle repose et demeure immobile. / Mais si la porte, ouverte aux zéphyrs indiscrets, / de l'arrêt fugitif leur livre les secrets, / ils volent dispersés sous les roches profondes. / Elle, au lieu d'assembler leurs feuilles vagabondes, / de ses oracles vains aux vents abandonnés / laisse errer au hasard les mots désordonnés ; / et qui vient consulter sa réponse inutile, / maudit en s'éloignant l'antre de la sibylle. "

"Normalmente, ali ficam ordenados; / porém, se a porta se abre e uma corrente de ar / ergue e embaralha as tenras folhas, a adivinha / pelo largo aposento as deixa a voejar, / jamais se preocupando em apanhá-las, / para os versos repor na ordem primitiva. / E os consulentes sem resposta se retiram, / a sibilina cova esconjurando."

L'été s'ouvrait à peine ; à l'orageux Neptune / mon père me pressait de livrer ma fortune. / D'un peuple fugitif j'assemble les débris ; / les yeux en pleurs, je pars ; je fuis ces bords chéris, / ces antiques remparts dont Vulcain fit sa proie, / et les toits paternels, et les champs où fut Troie ; / et, sur l'onde exilé, j'emmène en d'autres lieux, / et mon père, et mon fils, et mon peuple, et mes dieux.

Logo que chega a primavera, Anquises manda / largar as velas aos caprichos do destino. / Então com lágrimas nos olhos vou deixando / o porto, o pátrio litoral, toda a planície / onde um dia foi Troia. Ao mar me entrego, / qual exilado, com meu filho, os companheiros, / nossos penates, nossos grandes deuses.