Examples of using "Sore" in a sentence and their french translations:
- Tout le monde est vexé.
- Tout le monde est agacé.
J’ai eu des courbatures.
J'ai mal partout.
Il a mal aux yeux.
Elle a mal partout.
- Mes yeux me font mal.
- Mes yeux sont douloureux.
- J'ai les yeux douloureux.
- Les yeux me font mal.
Mes pieds sont douloureux.
J'ai mal au bras.
- Tout mon corps me fait mal.
- Tout mon corps est douloureux.
- Tout mon corps est endolori.
J'ai mal à la gorge.
Elle a mal au dos.
J'ai mal au talon.
Tom est un mauvais perdant.
J'ai mal au genou.
J'ai une douleur au dos.
J'ai mal à la gorge.
As-tu mal à la gorge ?
J'ai un peu mal à la gorge.
- Mes yeux me font mal.
- J'ai mal aux yeux.
- J’ai mal à l’œil.
Mes pieds me font mal.
J'avais les jambes douloureuses le jour suivant.
C'était un plaisir pour les yeux.
Mes yeux sont mals.
Il n'a plus mal au coude.
- Vous ne passez pas inaperçu !
- Vous ne passez pas inaperçue !
- Tu ne passes pas inaperçu !
- Tu ne passes pas inaperçue !
J'ai mal partout.
Tom sortait du lot comme un nez au milieu de la figure.
J'ai mal à la mâchoire.
J'ai mal à la gorge et le nez qui coule.
À cause d'une douleur dans le dos, je n'ai pas pu jouer au tennis.
J'ai mal à la gorge.
Elle était agacée en raison de mon retard.
J'ai mal à la gorge et de la fièvre.
J'ai une grippe et mal à la gorge.
J'ai très mal au bras, là où vous m'avez frappé.
- J'ai très mal au bras, là où vous m'avez frappé.
- Mon bras me fait très mal là ou tu m'as frappé.
Avez-vous mal à la tête et à la gorge ?
Tout mon corps me fait mal.
J'ai mal partout.
Tout mon corps me fait mal.
- J'ai très mal au bras, là où tu m'as frappé.
- J'ai très mal au bras, là où tu m'as frappée.
- J'ai très mal au bras, là où vous m'avez frappé.
- J'ai très mal au bras, là où vous m'avez frappée.
Tu as mal à la gorge et de la fièvre. Ne sors pas.
Tom est un mauvais perdant.
Les premiers symptômes de la maladie sont la fièvre et le mal de gorge.
Mon médecin a dit que cette inflammation de la gorge est une infection à streptocoques.
- J'ai un mal de gorge. As-tu une pastille pour la toux ?
- J'ai mal à la gorge. Avez-vous une pastille pour la toux ?
En me levant aujourd'hui, j'ai ressenti une petite douleur dans la gorge.
J'ai mal à une dent à l'arrière, à gauche.
- J'ai une douleur au dos.
- J'ai mal au dos.
- Mon dos me fait mal.
- Thomas a mal au dos.
- Tom a mal au dos.
- Tout mon corps me fait mal.
- Tout mon corps est douloureux.
- Tout mon corps est endolori.
J'ai mal à l'estomac.
J'ai mal au ventre.
J'ai un léger mal de gorge depuis ce matin. Je me demande si j'ai attrapé un coup de froid.
Je vais prendre deux aspirines avant de me coucher parce que j'ai mal à la gorge.
J'ai mal à la gorge et le nez qui coule.
Il était une fois une reine qui avait le cœur meurtri car elle était sans enfant.
Aux accents douloureux de sa voix gémissante, / je pleure, je réponds en sons entrecoupés / par quelques mots sans suite et sans ordre échappés:
- Mes pieds me font mal.
- Mon pied me fait mal.
- J’ai mal aux pieds.
- J’ai mal au pied.
- J’ai mal aux jambes.
- J’ai mal à la jambe.
Déjà d'un doux repos je savourais les charmes, / quand je crus voir Hector, les yeux noyés de larmes, / pâle, et tel qu'autrefois sur la terre étendu, / au char d'un fier vainqueur tristement suspendu, / hélas ! et sous les tours de Troie épouvantée / il marquait de son front l'arène ensanglantée.
J'ai la gorge qui me gratte depuis ce matin. Je me demande si j'ai attrapé un coup de froid.
Cependant de ses flots, sans son ordre agités, / Neptune entend le bruit ; il entend la tempête / mugir autour d'Énée, et gronder sur sa tête.
De l'éclat de ses traits Didon reste frappée ; / de ses malheurs, de lui son âme est occupée. / "O noble sang des dieux, que je plains vos revers ! / dit elle. Quel destin vous jette en ces déserts ? "
Je visite du dieu le temple tutélaire, / et je m'écrie : " O toi, que dans Thymbre on révère, / à ce malheureux peuple, errant, persécuté, / donne un asile sûr, une postérité ! / Où faut-il transporter, nous, nos dieux, et Pergame ? / Viens, parle, éclaire-nous, et descends dans notre âme ! "
Cependant, à son tour, Andromaque pensive / prépare ses adieux ; sa tendresse attentive / aux présents d'Hélénus veut ajouter le sien. / Ascagne reçoit d'elle un manteau phrygien, / de superbes tissus où la navete agile / a glissé des fils d'or dans sa trame fragile, / des travaux de ses mains plus précieux encor. / " Tenez, prenez ce don de l'épouse d'Hector, / cher enfant : qu'il vous prouve à jamais ma tendresse. / C'est le dernier présent d'une triste princesse ; / de vos parents, hélas ! c'est le dernier bienfait. / Prenez, ô de mon fils doux et vivant portrait ! / Voilà son air, son port, son maintien, son langage ; / ce sont les mêmes traits, il aurait le même âge ... "