Examples of using "Deserted" in a sentence and their french translations:
- La ville était déserte.
- La ville était désertée.
La gare était déserte.
La maison était déserte.
La rue est déserte.
- Les chambres sont désertes.
- Les pièces sont désertes.
La maison paraît déserte.
- Les rues viennent à être désertées.
- Les rues s'en viennent à être désertées.
Les rues étaient désertes.
- Les rues sont désertes.
- Les rues sont vides.
L'endroit était complètement déserté.
L'endroit est presque désert.
L'endroit est apparemment désert.
La rue est déserte aujourd'hui.
La ville fut désertée par ses habitants.
La rue était déserte après dix heures.
Sa présence d'esprit l'a déserté.
- Il fut abandonné par ses amis.
- Il a été abandonné par ses amis.
On dirait une ancienne ville minière.
Cet endroit ici est le vieux Reinersen abandonné.
- J'appréciai de marcher seul sur la plage déserte.
- J'ai apprécié de marcher seul sur la plage déserte.
Tandis que vous pouvez marcher sans crainte sur des chemins déserts
- J'aimais marcher seul au coucher du soleil sur la plage désertée.
- J'appréciais de marcher seul sur la plage désertée, dans la soirée.
Le parcours de golf est complètement délaissé, il n'y pas un chat !
Pendant ce temps, sur le flanc droit ottoman, les akincis trouvèrent des habitations désertes,
Des milliers de ses nouveaux conscrits se sont rendus ou ont déserté; des centaines ont été conduits dans la
Je n'ai jamais vu cet endroit si désert.
Le chevrier a conduit les chèvres, toutes blanches de neige, dans une grotte déserte pour s'y réfugier.
Vlad n'a pas oublié cela même des années après avoir déserté la cour ottomane pour rejoindre les rangs hongrois.
Nos deux héros ayant déserté cette phrase, leurs aventures semblaient bien vouloir se terminer précisément à ce mot-ci.
Si vous deviez aller vivre sur une île déserte et ne pouviez emmener qu'un seul livre avec vous, lequel choisiriez-vous ?
- Ici, à partir de sept heures, les rues sont désertes.
- A sept heures de l'après-midi, les rues de cette ville sont désertes.
" Et vous, qu'un noble zèle attache à votre maître, / écoutez : hors des murs vos yeux verront paraître / un coteau d'où s'élève un temple où les mortels / de Cérès autrefois encensaient les autels ; / non loin est un cyprès respecté par les âges, / et qui de nos aïeux recevait les hommages. "
Voyant le noble feu qui brûle dans leur sein : / " Cœurs généreux, hélas ! et généreux en vain, / vous le voyez : la flamme en tous lieux se déploie ; / comme nous asservis, les faibles dieux de Troie / de leurs temples brûlants ont quitté les autels. / Les dieux nous ont trahis ; et nous, faibles mortels, / nous secourons des murs qu'ils ne purent défendre ! / Qu'importe, amis ? mourons dans nos remparts en cendre, / mourons le fer en main, voilà notre devoir. "