Examples of using "Declare" in a sentence and their french translations:
Avez-vous quelque chose à déclarer ?
je suis fier de clamer :
Je n'ai rien à déclarer.
Avez-vous quelque chose à déclarer ?
J'ai quelque chose à déclarer.
Avez-vous quelque chose à déclarer ?
Avez-vous quelque chose à déclarer ?
Je n'ai rien à déclarer.
Nous devons leur déclarer la guerre.
Je n'ai rien à déclarer, sauf mon génie.
Je n'ai pas encore osé déclarer mon amour.
Je déclare les Jeux Olympiques ouverts.
Parce que les fondateurs de la foi mormone ont déclaré
qui paya environ 700 000$ pour innocenter quelqu'un qui était coupable.
maladie (B ) couverte par l'assureur, dans ce cas l'assuré doit déclarer cette aggravation
Pour se faire des ennemis, pas la peine de déclarer la guerre, il suffit juste de dire ce que l'on pense.
Le souscripteur ou l'assuré est tenu de déclarer le risque à l'assureur, pour que ce dernier
À peine j'eus calmé ma première épouvante : / sur ces signes affreux du céleste courroux / je consulte les dieux, et mon père avant tous.
On joue au cowboy et aux Indiens ? Je me proclame shérif et vous devez tous m'obéir.
Les juges ne pouvaient déterminer aucun vainqueur pour le match et décidèrent de prononcer un nul.
La loi exige de l'assuré une déclaration du sinistre à l'assureur dès qu’il en
Ce jour-là de 1887, parut à Varsovie, une brochure de Louis Lazare Zamenhof traitant de « Langue Internationale ». Sa taille était modeste, sa devise ambitieuse : « Pour qu'une langue soit internationale, il ne suffit pas de la nommer ainsi. » Comme nom d'auteur était indiqué : « Docteur Espéranto ».
Ainsi Créuse en pleurs, exhalant ses alarmes, / remplit l'air de ses cris, me baigne de ses larmes, / lorsqu'un soudain prodige épouvante nos cœurs : / aux yeux et dans les bras de ses parents en pleurs, / sur la tête d'Ascagne une flamme rayonne, / tourne autour de son front en brillante couronne, / et, d'un léger éclair l'effleurant mollement, / autour de ses cheveux se joue innocemment.
Ainsi parlaient mes dieux : ce n'était point d'un songe / l'illusion nocturne et le grossier mensonge ; / c'étaient leurs saints bandeaux, leurs regards, leurs accents, / et tous mes sens émus me les montraient présents. / Tremblant, je me relève ; et, d'une ardeur pieuse, / je lève au ciel ma voix, ma main religieuse ; / aux dieux hospitaliers je rends un juste honneur, / et je cours à mon père annoncer mon bonheur.
" Douze jeunes beautés ornent ma cour brillante ; / Déiope, la plus jeune et la plus séduisante, / unie à vos destins par les nœuds les plus doux, / acquittera les soins que j'exige de vous ; / et d'Éole à jamais la compagne fidèle / un jour lui donnera des enfants dignes d'elle. "