Examples of using "прошлого" in a sentence and their french translations:
Du passé
On ne peut pas fuir le passé.
Tom est hanté par les démons de son passé.
On ne peut pas fuir le passé.
C'est une relique du passé.
Mère est malade depuis jeudi dernier.
Il pleut depuis dimanche dernier.
Les prix montent depuis l'année dernière.
Il est absent depuis lundi dernier.
Il pleut depuis jeudi dernier.
Les larmes du passé fécondent l'avenir.
Ma mère est malade depuis le mois dernier.
Ma mère est malade depuis le mois dernier.
Je ne l'ai pas vue depuis le mois dernier.
- Je me fiche de ton passé.
- Je n'ai que faire de votre passé.
Tom est absent depuis lundi dernier.
Ma mère est malade depuis le mois dernier.
Ma mère est malade depuis le mois dernier.
Le mois d'octobre dernier était plus chaud que la normale.
Tu as bien grandi depuis la dernière fois.
- Je me fiche de ton passé.
- Je n'ai que faire de ton passé.
et pour détacher la Russie du passé soviétique.
Je ne me souviens de rien de la nuit dernière.
Je ne l'ai pas vu depuis dimanche dernier.
Il ne nous a pas écrit depuis février.
Je ne l'ai pas vue depuis le mois dernier.
J'habite à Kobé depuis l'année dernière.
Ma boîte aux lettres est vide depuis le mois dernier.
J'ai déménagé ici en octobre dernier.
Je n'ai pas fait ça depuis l'année dernière.
Le passé n'est plus et le future n'est pas encore.
Elle est partie pour Paris à la fin du mois dernier.
J'habite dans cette maison depuis le mois dernier.
Tom et Mary se sont mariés en octobre dernier.
Ils étaient en vacances en octobre dernier.
J'ai grandi de quinze centimètres depuis l'année dernière.
avec les images sépia du passé.
J'ai honte de mon passé.
Où étais-tu l'année dernière au mois d'août ?
Je l'ai rencontrée l'hiver dernier.
Dans ce cas, nous pouvons dire qu'il n'y a pas de concept de passé et de futur. Il a juste le concept maintenant.
- Votre passé m'indiffère.
- Ton passé m'indiffère.
- Je me fiche de ton passé.
- Je n'ai que faire de ton passé.
- Je n'ai que faire de votre passé.
Je sais que vous étiez à Boston l'été dernier.
Il suffit d’être sorti des rêves de la jeunesse, de tenir compte de l’expérience, de la sienne et de celle des autres, d’avoir appris à se mieux connaître, par la vie, par l’histoire du temps passé et du présent, par la lecture des grands poètes, et de n’avoir pas le jugement paralysé par des préjugés trop endurcis, pour se résumer les choses ainsi : le monde humain est le royaume du hasard et de l’erreur, qui y gouvernent tout sans pitié, les grandes choses et les petites ; à côté d’eux, le fouet en main, marchent la sottise et la malice : aussi voit-on que toute bonne chose a peine à se faire jour, que rien de noble ni de sage n’arrive que bien rarement à se manifester, à se réaliser ou à se faire connaître ; qu’au contraire l’inepte et l’absurde en fait de pensée, le plat, le sans-goût en fait d’art, le mal et la perfidie en matière de conduite, dominent, sans être dépossédés, sauf par instants. En tout genre, l’excellent est réduit à l’état d’exception, de cas isolé, perdu dans des millions d’autres ; et si parfois il arrive à se révéler dans quelque œuvre de durée, plus tard, quand cette œuvre a survécu aux rancunes des contemporains, elle reste solitaire, pareille à une pierre du ciel, que l’on conserve à part, comme un fragment détaché d’un monde soumis à un ordre différent du nôtre.