Examples of using "Venho" in a sentence and their french translations:
Je viens.
Je viens d'Espagne.
J'arrive tout de suite.
Je suis de Kyoto.
Je viens travailler.
Je viens en paix.
Je viens de Colombie.
Je suis d'Égypte.
Je viens de Milan.
Je viens du futur.
Je viens d'Australie.
Je viens du Portugal.
Je viens du Canada.
Je viens d'Angleterre.
Je viens du Brésil.
Je viens du Japon.
Je viens de Saitama.
Je ne vais pas venir aujourd'hui.
Je viens avec moi-même.
- J'arrive.
- Je viens.
Je viens de Chine.
Je viens ici aussi souvent que je le peux.
Je viens dès que je peux.
Je ne viens pas souvent ici.
Je viens tous les jours.
Je viens à l'école en bus.
Je viens d'Australie.
Je viens d'Angleterre.
- J'y viens tous les lundis.
- Je viens là tous les lundis.
Je viens ici chaque jour.
Je viens d'Italie et je parle italien.
Je viens du futur.
- Je suis d'Égypte.
- Je viens d'Égypte.
Je viens de Chine.
Je viens du Brésil.
Je viens du Portugal.
C'est la deuxième fois que je viens dans cette ville.
J'y ai réfléchi.
- Je viens de Tokyo.
- Je suis originaire de Tokyo.
N'est-ce pas ce que je viens de dire ?
Je viens de Saitama.
Je viens d'Angleterre.
Je viens seulement le mardi et le jeudi.
Je viens d'Espagne.
Je viens de Tokyo, Japon.
C'est la deuxième fois que je viens dans cette ville.
- J'arrive.
- Je viens.
- Me voici.
J'ai construit une marque, j'ai fait un podcast,
- Je viens de Kyoto.
- Je suis de Kyoto.
Je suis de Shizuoka.
Je viens du Japon.
Je viens de Russie.
Je viens du Brésil.
Je travaille sur ceci depuis des mois.
Je viens d'Italie et je parle italien.
Je me sens très seul ces jours-ci.
Je marche dans la nuit par un chemin mauvais, ignorant d'où je viens, incertain où je vais.
C'est exactement ce que je viens de dire.
Qui suis-je ? D'où viens-je ? Y a-t-il une vie après la mort ? Que signifie la vie sur la Terre ?
C'est exactement ce que j'ai dit.
« Où étais-tu passé ? » « Je viens d'en bas. » « Qu'est-ce que tu fabriquais ? » « Je suis allé faire pipi. »
" Aux enfers dès longtemps mon ombre dut descendre ; / depuis longtemps je meurs ; et mes jours odieux / sont à charge à la terre, et maudits par les dieux, / depuis que Jupiter, qui dut me mettre en poudre, / m'a flétri de ses feux, et frappé de sa foudre. "
Adressant donc sa voix à l'aîné des Amours : / " O toi, l'honneur, l'appui, le charme de mes jours, / enfant vainqueur des dieux, souverain de la terre, / de que la flèche insulte aux flèches du tonnerre. "