Examples of using "Nuvens" in a sentence and their french translations:
Les nuages sont gris.
Il n'y aura pas de nuages.
- Les nuages cachèrent le soleil.
- Les nuages cachent le soleil.
Les nuages deviennent plus noirs.
Regarde ces nuages noirs.
- Le ciel se dégage.
- Les nuages se dissipent.
Nous volons au-dessus des nuages.
Il n'y a pas de nuages dans le ciel.
Les nuages cachèrent le soleil.
Ce nuage sombre annonce la pluie.
- L'avion volait au-dessus des nuages.
- L'avion vola au-dessus des nuages.
Le ciel s'emplit de nuages noirs.
Des nuages se rassemblent...
Le ciel est couvert de nuages.
Les nuages sombres sont signe de pluie.
La lune se trouve derrière les nuages.
Nous volons au-dessus des nuages.
- L'avion volait au-dessus des nuages.
- L'avion vola au-dessus des nuages.
Aujourd'hui, le ciel est sans nuages.
Le ciel est empli de nuages noirs.
Il y a plus de nuages aujourd'hui qu'hier.
Quelques nuages peuvent être aperçus dans le ciel.
La lune est sortie de derrière les nuages.
Soudain, les nuages obscurcirent le ciel.
Quand il l'apprendra, il va tomber de haut.
Le soleil se cache derrière les nuages.
Il va bientôt pleuvoir, regarde ces nuages noirs.
Aujourd'hui, le ciel est bleu et sans nuages.
Notre avion est en train de voler au-dessus des nuages.
Des nuages plongent à nouveau la savane dans l'obscurité.
Le ciel s'emplissait de la masse de ses nuages noirs.
Il n'y a pas de nuages dans le ciel.
Le soleil était couvert par un voile de nuages.
Elle a la tête tout à fait ailleurs.
La lune brillait par intermittence entre les nuages.
Les nuages mettent sa vision nocturne à l'épreuve.
- Il y a plus de nuages aujourd'hui qu'hier.
- Aujourd'hui, il y a davantage de nuages qu'hier.
De Leucate bientôt les sommets nuageux, / et du port d'Apollon les écueils orageux, / chers, malgré leurs dangers, de loin nous apparaissent.
Il dit, et d'un seul mot il calme les orages, / ramène le soleil, dissipe les nuages.
La fureur me conseille un moyen plus affreux : / Une tour, dont le front s'élevait jusqu'aux cieux, / placée au bord du comble, y semblait suspendue ; / de là de Troie entière on voyait l'étendue, / les pavillons des Grecs, et leurs mille vaisseaux.
" Elle-même, tonnant du milieu des nuages, / bouleversa les mers, déchaîna les orages, / dans un noir tourbillon saisit l'infortuné / qui vomissait des feux de son flanc sillonné, / et de son corps lancé sur des roches perçantes / attacha les lambeaux à leurs pointes sanglantes. "
Tous les deux, s’avançant dans ces tristes royaumes Habités par le vide et peuplés de fantômes, Marchoient à la lueur du crépuscule obscur, Tel, lorsqu’un voile épais des cieux cache l’azur, Au jour pâle et douteux de leur lumière avare, Dans le fond des forêts le voyageur s’égare.
Sur la face des eaux s'étend la nuit profonde ; / le jour fuit, l'éclair brille, et le tonnerre gronde ; / et la terre et le ciel, et la foudre et les flots, / tout présente la mort aux pâles matelots.
" Reine, répond Éole, ordonnez, j'obéis : / à la table des dieux par vous je suis assis ; / par vous j'ai la faveur du souverain du monde, / et je commande en maître aux puissances de l'onde. "
Le port creusé dans ces rivages / garde un calme profond ; mais par d'autres orages / l'épouvantable Etna trouble, en grondant, ces lieux ; / bientôt déploie en l'air des colonnes de feux ; / tantôt, des profondeurs de son horrible gouffre, / de flamme et de fumée, et de cendre et de soufre, / dans le ciel obscurci lance d'affreux torrents ; / tantôt, des rocs noircis par ses feux dévorants / arrachant les éclats, de ses voûtes tremblantes / vomit, en bouillonnant, ses entrailles brûlantes.
Le vent tonne en courroux sur les mers qu'il tourmente ; / le flot monte et retombe en montagne écumante ; / l'œil ne distingue plus ni le jour, ni la nuit ; / le pilote éperdu, que la frayeur conduit, / abandonne au hasard sa course vagabonde. / Sur nous le ciel mugit ; sous nos pieds la mer gronde ; / le tonnerre redouble, et de l'air ténébreux / mille horribles éclairs sont les astres affreux.