Examples of using "Mentire" in a sentence and their french translations:
Il détestait mentir.
- Arrête de mentir.
- Arrêtez de mentir.
- Il n'était pas nécessaire que tu mentes.
- Il n'était pas nécessaire que vous mentiez.
Arrêtez de mentir.
- J'en ai marre de mentir.
- J'en ai vraiment marre de mentir.
Ne mens pas !
J'ai dû mentir à tout le monde.
C'est mal de mentir.
Ne mens pas, chéri.
- Tu es bon menteur.
- Vous êtes bon menteur.
Tu es bon menteur.
- Promets-tu de ne plus jamais mentir ?
- Promettez-vous de ne plus jamais mentir ?
Je pense que c'est mal de mentir.
Je ne l'ai jamais entendu mentir.
c’est de mentir et de tricher. »
Je ne veux plus mentir.
- Je ne t'ai jamais dit de mentir.
- Je ne vous ai jamais dit de mentir.
C'est mal de mentir, par exemple.
Pour me défendre, j'ai dû mentir.
Je ne l'ai jamais entendu mentir.
Je ne peux pas mentir.
Il détestait mentir.
Nous ne pouvons pas leur mentir.
Dire un mensonge est-il toujours un péché ?
Ne mens pas ! Dis la vérité !
Il a continué à mentir.
Nous ne sommes pas très doués pour mentir,
- Ne mens pas.
- Ne mens pas !
C'est plus honnête d'avouer que de mentir.
Je ne peux pas encore mentir à Tom.
Je ne peux pas mentir à Taninna. Elle est ma femme.
J'aurais dû mentir mais je lui ai dit la vérité.
Je n'avais jamais pour habitude de mentir.
- C'est mal de dire un mensonge.
- C'est mal de mentir.
J'aurais dû mentir mais je lui ai dit la vérité.
J'aurais dû mentir mais je lui ai dit la vérité.
Celui qui veut mentir, doit avoir une bonne mémoire.
Il n'est pas nécessaire de connaître la vérité pour mentir.
Les femmes aiment les mensonges, les hommes aiment mentir.
Tu ne dois pas mentir.
Ne dis pas de mensonge, sois honnête !
Est-il juste de mentir pour ne pas blesser les sentiments d'un ami ?
Ne mens pas ! Dis la vérité !
On devrait apprendre aux enfants à ne pas dire de mensonges.
Alain décrivait sa femme comme une fille impétueuse, qui parlait vite, savait mentir et n’avait aucun sens de la pudeur.
Il n'y a pas, à ce stade de l'histoire mondiale aux États-Unis d'Amérique, de chose telle qu'une presse indépendante. Vous le savez et je le sais. Il n'y a pas un de vous qui ose écrire ses franches opinions, et si vous le faisiez, vous savez d'avance qu'elles ne seraient jamais publiées. Je suis hebdomadairement payé pour tenir mes franches opinions à distance du journal auquel je suis lié. D'autres d'entre vous reçoivent de mêmes émoluments pour des choses similaires, et n'importe lequel d'entre vous qui serait assez bête pour écrire de franches opinions serait à la rue à chercher un autre emploi. Si je laissais mes franches opinions être publiées dans l'une des parutions de mes journaux, mon emploi s'évaporerait avant vingt-quatre heures. Le boulot du journaliste est de détruire la vérité, de mentir effrontément, de pervertir, de diaboliser, de lécher les pieds de Mammon et de vendre son pays et sa race pour gagner son pain quotidien. Vous le savez et je le sais, et quelle folie est cette célébration d'une presse indépendante ? Nous sommes des pantins, ils tirent les ficelles et nous dansons. Nos talents, nos possibilités et nos vies sont tous la propriété d'autres hommes. Nous sommes des prostitués intellectuels.