Examples of using "Kint" in a sentence and their french translations:
- Attends dehors.
- Attendez dehors.
Il y a quelqu'un dehors.
- Ils sont dehors.
- Ils sont à l'extérieur.
- Elles sont dehors.
- Nous avons attendu dehors.
- Nous attendîmes dehors.
J'étais dehors.
- Nous pouvons discuter dehors.
- Nous pouvons parler dehors.
- Ils étaient dehors.
- Elles étaient dehors.
Il fait froid dehors.
Tout le monde est dehors.
Tom est dehors.
- Il fait tout noir dehors.
- Il fait noir comme du jais, dehors.
- Il fait noir comme dans un four, dehors.
Je mange toujours à l’extérieur.
- Ils sont dehors.
- Ils sont à l'extérieur.
- Elles sont dehors.
- Elles sont à l'extérieur.
Rentre à l'intérieur. Il fait froid dehors.
- Je n'ai pas vu votre voiture, dehors.
- Je n'ai pas vu ta voiture, dehors.
Il fait tout noir dehors.
Nous devons dormir à l'extérieur, aujourd'hui.
- Laisse le chien dehors.
- Laissez le chien dehors !
J'étais dehors toute la journée.
Elle était absente quand je l'ai appelée.
Je veux manger dehors, ce soir.
Que le chien reste dehors !
Il fait déjà sombre dehors.
- Il fait froid au dehors.
- Il fait froid dehors.
Il neige dehors, couvre-toi.
La maison du chien est à l'extérieur.
- Depuis combien de temps êtes-vous sorti de prison ?
- Depuis combien de temps êtes-vous sortis de prison ?
- Depuis combien de temps êtes-vous sortie de prison ?
- Depuis combien de temps êtes-vous sorties de prison ?
- Depuis combien de temps es-tu sorti de prison ?
- Depuis combien de temps es-tu sortie de prison ?
Les enfants aiment jouer à l'extérieur.
Pourrait-on avoir une table à l'extérieur ?
Le chien doit rester dehors !
Tom dormait dehors.
Je pouvais entendre les oiseaux chanter dehors.
Il fait noir comme dans un four, dehors.
- Nous passâmes la journée en plein air.
- Nous avons passé la journée au grand air.
Mon père est juste dehors dans le jardin.
Il fait trop sombre pour jouer dehors.
Je n'aime pas cuisiner quand il fait chaud dehors.
Un certain M. Jones t'attend dehors.
Mon oncle a vécu à l'étranger pendant de nombreuses années.
De nos jours les enfants ne jouent pas dehors.
Toutes les personnes croisées fument et tout le monde sent le tabac froid.
semblable à un carton de lait oublié au soleil.
Personne ne veut travailler en extérieur un jour où il fait froid.
Tu devrais passer plus de temps dehors et moins à l'intérieur.
Je n'aime pas cuisiner quand il fait chaud dehors.
Un vélo rouille, si tu le laisses sous la pluie.
Qui était l'homme qui attendait dehors ?
Tom attendit dehors sous la pluie battante pendant plus d'une heure.
Je ne vais sûrement pas sortir maintenant. Il fait sacrément froid dehors.
- Ce mec est complètement zinzin !
- Ce mec est complètement maboul !
- Ce mec est complètement taré !
- Ce mec est complètement givré !
- Ce mec est complètement fou !
- Il lui manque une soupape.
Il n'y a pas, à ce stade de l'histoire mondiale aux États-Unis d'Amérique, de chose telle qu'une presse indépendante. Vous le savez et je le sais. Il n'y a pas un de vous qui ose écrire ses franches opinions, et si vous le faisiez, vous savez d'avance qu'elles ne seraient jamais publiées. Je suis hebdomadairement payé pour tenir mes franches opinions à distance du journal auquel je suis lié. D'autres d'entre vous reçoivent de mêmes émoluments pour des choses similaires, et n'importe lequel d'entre vous qui serait assez bête pour écrire de franches opinions serait à la rue à chercher un autre emploi. Si je laissais mes franches opinions être publiées dans l'une des parutions de mes journaux, mon emploi s'évaporerait avant vingt-quatre heures. Le boulot du journaliste est de détruire la vérité, de mentir effrontément, de pervertir, de diaboliser, de lécher les pieds de Mammon et de vendre son pays et sa race pour gagner son pain quotidien. Vous le savez et je le sais, et quelle folie est cette célébration d'une presse indépendante ? Nous sommes des pantins, ils tirent les ficelles et nous dansons. Nos talents, nos possibilités et nos vies sont tous la propriété d'autres hommes. Nous sommes des prostitués intellectuels.