Examples of using "Zurückkommt" in a sentence and their french translations:
Attendez ici jusqu'à ce qu'il revienne.
Je ne sais pas quand est-ce que ma mère reviendra.
Je m'en vais quand il revient.
Demande-lui quand elle reviendra.
Demande-lui quand il reviendra.
Demande-lui quand est-ce qu'elle revient.
Attends ici jusqu'à ce qu'il revienne.
Ils veulent qu'il revienne.
J'attendrai ici jusqu'à ce qu'il revienne.
Je ne sais pas quand ma maman reviendra.
Je ne sais pas quand il va revenir.
Et s'il revenait maintenant ?
- Attendez ici jusqu'à ce qu'il revienne.
- Attends ici jusqu'à ce qu'il revienne.
Attendez ici jusqu'à ce qu'il revienne.
Je pense qu'il va bientôt revenir.
- J'attendrai ici jusqu'à ce qu'il revienne.
- Je vais attendre ici qu'il revienne.
Il n'a pas spécifié quand il reviendrait.
Je ne sais pas quand ma maman reviendra.
Et maintenant tu veux qu'elle revienne ?
Je ne veux pas non plus que Tom revienne.
Il te l'expliquera quand il reviendra.
Je le lui dirai quand il reviendra.
Tu ferais mieux de te dégriser avant que le patron revienne.
- En revenant, Tom achètera un pain.
- Quand Tom reviendra, il achètera un pain.
Je suis sûr que votre fils reviendra sain et sauf.
Toute personne revenant d'Espagne doit se confiner d'elle-même pendant une quinzaine de jours.
- Demande-lui quand est-ce qu'elle revient.
- Demande-lui quand elle reviendra.
- Attendez ici jusqu'à ce qu'il revienne.
- Attends ici jusqu'à ce qu'il revienne.
- J'attendrai ici jusqu'à ce qu'il revienne.
- J'attends ici jusqu'à ce qu'il revienne.
Je pense qu'il va bientôt revenir.
Je ne sais pas quand il va revenir.
J'attendrai ici jusqu'à ce qu'il revienne.
Bien entendu, le peuple ne veut pas de guerre. Pourquoi est-ce qu'un pauvre gueux dans une ferme voudrait risquer sa vie dans une guerre dont il ne peut espérer au mieux qu'il en reviendra entier ? Naturellement, le commun de la population ne veut pas de guerre ; ni en Russie, ni en Angleterre, ni en Amérique, ni, en ce qui nous concerne, en Allemagne. C'est bien entendu. Mais, après tout, ce sont les dirigeants d'un pays qui en déterminent les lignes d'action, et ce n'est jamais qu'une question simple que d'entraîner le peuple, que ce soit dans une démocratie, une dictature fasciste, un Parlement, ou une dictature communiste. [...] Le peuple peut toujours être converti à la cause des dirigeants. Cela est facile. Tout ce qu'il suffit de faire, c'est de leur dire qu'ils sont attaqués et dénoncer les pacifistes pour leur manque de patriotisme qui expose le pays au danger. Cela marche de la même manière dans tous les pays.