Translation of "Vaincu" in Portuguese

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Examples of using "Vaincu" in a sentence and their portuguese translations:

Il n'a jamais vaincu l'alphabet.

- Ele nunca venceu o alfabeto.
- Ele nunca dominou o alfabeto.

Il a vaincu son ennemi.

Ele derrotou seu inimigo.

- Nous avons vaincu l'ennemi.
- Nous vainquîmes l'ennemi.
- On a vaincu l'ennemi.
- On vainquit l'ennemi.

Nós derrotamos o inimigo.

- Je suis venu, j'ai vu, j'ai vaincu.
- Je suis venue, j'ai vu, j'ai vaincu.

Vim, vi, venci.

J'ai vaincu les satrapes du Grand Roi Darius.

Eu derrotei os sátrapas do Grande Darius

- J'ai vaincu le guerrier.
- J'ai défait le guerrier.

Eu derrotei o guerreiro.

- Je suis venu, j'ai vu, j'ai vaincu.
- Je suis venue, j'ai vu, j'ai vaincu.
- Je vins, je vis, je vainquis.

- Cheguei, vi, venci.
- Eu cheguei, eu vi, eu venci.

C'est le Nord qui a vaincu lors de la Bataille de Shiloh.

O norte ganhou a Batalha de Shiloh.

La même demande et des demandes similaires ont également été faites ici. Et la Chine a presque vaincu le virus

As mesmas aplicações e similares também foram feitas aqui. E a China quase venceu o vírus

Le plus important aux Jeux olympiques n'est pas de gagner mais de participer, car l'important dans la vie ce n'est point le triomphe mais le combat. L'essentiel, ce n'est pas d'avoir vaincu mais de s'être bien battu.

A coisa mais importante nos Jogos Olímpicos não é vencer, mas participar, assim como a coisa mais importante na vida não é o triunfo, mas a luta. O essencial não é ter vencido, mas ter lutado bem.

Ainsi, par les discours de ce monstre perfide, / nous nous laissons séduire ; et ce peuple intrépide, / que ni mille vaisseaux, ni cent mille ennemis, / ni dix ans de combats, n'avaient encor soumis, / qui d'Achille lui-même avait bravé les armes, / est vaincu par la ruse, et domté par les larmes.

Com tais insídias, pela astúcia do perjuro / Sínon, a falsidade acreditou-se; / e viram-se vencidos pela fraude / e por fingidas lágrimas aqueles / que nem Diomedes nem Aquiles, o Tessálio, / tendo a apoiá-los frota de mil barcos, / em dez anos de guerra, haviam subjugado.

" Toi, fils d'Achille ! Non, il ne fut point ton père. / D'un ennemi vaincu respectant la misère, / le meurtrier d'Hector, dans son noble courroux, / ne vit pas sans pitié Priam à ses genoux, / et, pour rendre au tombeau des dépouilles si chères, / il me renvoya libre au palais de mes pères. "

"De outra maneira se houve o próprio Aquiles, / meu inimigo, que tua língua mentirosa / chama de pai: teve o pudor de respeitar-me / os direitos e a fé do suplicante; / ao cadáver de Heitor as honras do sepulcro / concedeu, permitindo-me voltar / em paz aos meus domínios.”