Translation of "«l'épouse" in English

0.007 sec.

Examples of using "«l'épouse" in a sentence and their english translations:

L'épouse de Fatih Portakal

Fatih Portakal's wife

Elle est l'épouse d'Alain.

She's Alain's wife.

Et porte le nom de l'épouse du grand-duc Luisenplatz.

and is named after the wife of the Grand Duke Luisenplatz.

Une femme l'aime et l'épouse, bien que son père ne veuille pas

a woman loves and marries her, although her father does not want

Et au-delà. Ils ont passé tellement de temps ensemble que Berthier était surnommée «l'épouse de Napoléon».

and beyond. They spent so much time together,  Berthier was nicknamed ‘Napoleon’s wife.’

L'épouse meurtrière prétendit que les traces de griffures sur son visage étaient dues à des coupures en se rasant.

The wife murderer claimed that the scratch marks on his face were the result of his cutting himself while shaving.

" Crois-moi : d'un fier vainqueur les superbes demeures / ne verront point servir le sang de Dardanus, / l'épouse d'un héros, et le bru de Vénus. "

"Ne'er / to Grecian women shall I bow the knee, / never in Argos see captivity, / I, who my lineage from the Dardans tell, / allied to Venus."

- L'époux acheta de belles roses pour l'épouse.
- L'homme est en train d'acheter des belles roses pour son épouse.
- L'homme achète de magnifiques roses pour sa femme.

- The man is buying beautiful roses for his wife.
- The man buys beautiful roses for his wife.

" Mais vous, de ce haut rang de l'épouse d'Hector / à quelle humble fortune êtes-vous descendue ? / Quel sort peut remplacer tant de grandeur perdue ? / Honorez-vous ici la cendre d'un époux ? / Est-ce Hector ou Pyrrhus qui dispose de vous ? "

"Alas! what lot is thine? What worthy fate / hath caught thee, fallen from a spouse so high? / Hector's Andromache, art thou the mate / of Pyrrhus?"

" Et moi, qui marche égale au souverain des cieux, / moi, l'épouse, la sœur du plus puissant des dieux, / armant contre un seul peuple et le ciel et la terre, / vainement je me lasse à lui livrer la guerre ! / Suis-je encore Junon ? et qui d'un vain encens / fera fumer encor mes autels impuissants ? "

- "But I, who walk in majesty as queen of the gods, both sister and wife of Jupiter, I am still waging wars with one tribe for all these years! And who will worship the divine spirit of Juno after this, or what suppliant will bring an offering to her altars?"
- "But I, who walk the Queen of Heaven confessed, / Jove's sister-spouse, shall I forevermore / with one poor tribe keep warring without rest? / Who then henceforth shall Juno's power adore? / Who then her fanes frequent, her deity implore?"

Ce jour même, sa veuve, inconsolable encor, / hors des murs, dans un bois qui d'un épais ombrage / d'un nouveau Simoïs ornait le doux rivage, / figurant en gazon un triste et vain cercueil, / offrait à son époux le tribut de son deuil. / Pour charmer ses regrets, loin des regards profanes, / à ce lugubre asile elle invitait ses mânes, / l'appelait auprès d'elle ; et, chers à ses douleurs, / deux autels partageaient le tribut de ses pleurs, / l'un pour Astyanax, et l'autre pour son père: / là pleurait tour à tour et l'épouse et la mère.

Within a grove Andromache that day, / where Simois in fancy flowed again, / her offerings chanced at Hector's grave to pay, / a turf-built cenotaph, with altars twain, / source of her tears and sacred to the slain – / and called his shade.

Cependant, à son tour, Andromaque pensive / prépare ses adieux ; sa tendresse attentive / aux présents d'Hélénus veut ajouter le sien. / Ascagne reçoit d'elle un manteau phrygien, / de superbes tissus où la navete agile / a glissé des fils d'or dans sa trame fragile, / des travaux de ses mains plus précieux encor. / " Tenez, prenez ce don de l'épouse d'Hector, / cher enfant : qu'il vous prouve à jamais ma tendresse. / C'est le dernier présent d'une triste princesse ; / de vos parents, hélas ! c'est le dernier bienfait. / Prenez, ô de mon fils doux et vivant portrait ! / Voilà son air, son port, son maintien, son langage ; / ce sont les mêmes traits, il aurait le même âge ... "

Nor less Andromache, sore grieved to part, / rich raiment fetches, wrought with golden thread, / and Phrygian scarf, and still with bounteous heart / loads him with broideries. "Take these", she said, / "sole image of Astyanax now dead. / Thy kin's last gifts, my handiwork, to show / how Hector's widow loved the son she bred. / Such eyes had he, such very looks as thou, / such hands, and oh! like thine his age were ripening now!"