Examples of using "Tunnen" in a sentence and their french translations:
Je sens quelque chose.
- Je me sens impuissant.
- Je me sens impuissante.
- Je te connais.
- Je vous connais.
Je la connais.
- Je compatis à ta douleur.
- Je compatis à votre douleur.
Je sens un courant d'air.
Je connais ton père.
Je le connais.
- J'ai l'impression d'être un tel idiot.
- J'ai l'impression d'être une telle idiote.
- Je me sens tellement idiot.
- Je me sens tellement idiote.
Je sens que je m'affaiblis.
Je sens que ça gonfle.
Donc, je me sens démuni à ce sujet :
- Je me sens seul.
- Je me sens seule.
Je me sens vivant.
Je connais les deux filles.
Je connais cette fille.
Je m'en sens coupable.
Je me sens impuissant.
Je me sens bête.
Je compatis à leur douleur.
Je compatis à sa douleur.
Je la connais de quelque part.
Je connais sa sœur.
- Je me sens pour ainsi dire prêt.
- Je me sens pour ainsi dire prête.
Je connais ces filles.
- Je me sens comme un idiot.
- Je me sens comme une idiote.
- Je me sens comme une pièce rapportée.
- Je me sens comme un étranger.
J'ai l'impression d'être un imposteur.
- Je me sens piégé.
- Je me sens piégée.
Je me sens malade.
Je me sens coupable.
Je te connais à peine.
Je connais la fille qui joue au tennis.
Je connais un homme qui parle le latin.
Je sens que je suis libre.
J'ai l'impression que plus il fait chaud, plus je me sens faible.
Je sens que je comprends tes sentiments.
Je connais cet Allemand avec une longue barbe.
- Je connais très bien ton frère.
- Je connais très bien votre frère.
Je me sens vraiment mal.
Je me sens déjà mieux.
Je ne me sens pas bien du tout.
Je me sens si stupide.
Je me sens comme un homme nouveau.
- Tu es la personne la plus paresseuse que je connaisse.
- Vous êtes la personne la plus paresseuse que je connaisse.
Je connais très bien ton père.
Je me sens devenir quelqu'un d'autre.
Je connais un homme qui pourrait donner un coup de main.
Je me sens encore un peu coupable.
Je ressens une profonde sympathie pour les victimes.
Je me sens à l'aise dans les situations délicates.
Je me sens comme si j'étais une autre personne.
J'ai l'impression que j'oublie quelque chose.
Je connais quelques étudiants de cette école.
Je me sens beaucoup plus à l'aise maintenant.
Je sens où va le trou. Mince alors ! Bon sang !
Je le sens, c'est déjà plus frais.
Je flotte au-dessus et je sens sa présence.
Je me sens soulagé.
- Je me sens vraiment trahi.
- Je me sens vraiment trahie.
- Je ressens la même chose que toi à ce propos.
- Je ressens la même chose que vous à ce propos.
Bizarrement, je me sens l'envie de dormir lorsque j'écoute cette chanson.
Je connais cet endroit comme ma poche.
J'ai le sentiment que traduire est devenu très déplaisant.
Marie est la fille la plus intelligente que je connaisse.
Mary est la plus belle fille que je connaisse.
Je connais quelqu'un qui parle très bien français.
Je ne connais pas la pièce, mais je connais bien son auteur.
- Je me sens comme une personne toute différente.
- Je me sens comme si j'étais une autre personne.
Je pète la forme.
Je me sens heureux.
Je me sens mieux, maintenant.
Je me demande pourquoi je me sens si seul quand il fait froid.
Je me sens mal.
C'est la première fois de ma vie que je me sens aussi connecté avec quelqu'un.
Je connais M. Saito de vue, mais je ne l'ai pas encore rencontré.
- J'ai la sensation de faire des progrès.
- J'ai le sentiment de faire des progrès.
Le repas copieux pris et son cartable fin prêt, Link chercha in extremis du réconfort auprès de ses amis. "Zelda, j'ai besoin de conseils." "Tu n'as quand même pas déjà peur", dit Zelda, renfrognée. "Non. Je veux juste l'avis de quelqu'un qui a déjà été au lycée et tu es la personne la plus intelligente que je connaisse !" Link sourit. Zelda laissa échapper un léger rire. "Merci. Toi alors..." "Les profs sont d'une sévérité à couper le souffle !" interrompit le roi d'un sourire malicieux. "Hein ?!" "Père !" s'exclama la princesse d'un ton réprobateur. "Désolé, poursuis." "Donc, Link-" Cette fois, un bruit de klaxon lui coupa la parole. "Ça doit être mon bus qui arrive," dit Link prestement, "Au revoir, tout le monde !" "Gare au hachis surprise !" Gwonam sembla jaillir de nulle part. "Hé, évite d'être touché !" ajouta le Roi et les deux ricanèrent. Link, pris de court, sembla brièvement vexé, mais Zelda lui témoigna son soutien : "Ne t'occupe pas d'eux, Link. Ça ira. J'en suis sûr..." "Ne t'inquiète pas, Zelda. Tout ira bien." Link redevint aussitôt radieux. "Bien. Embrasse-moi avant de partir." Mais Link fit volte-face et rétorqua sournoisement et avec une cruauté d'ado, "Dans tes rêves, princesse ! Voilà longtemps que je n'ai plus d'illusions avec toi. Mais je t'aime toujours," ajouta-t-il après coup avant de quitter le château. "Je ne vois pas ce qui la préoccupe. Tout ira bien" se dit-il en montant dans le bus, confiant.