Examples of using "Terror" in a sentence and their french translations:
- Quelle épouvante !
- Quel effroi !
- Quelle terreur !
des attaques terroristes à l'étranger.
l’indéfinissable, la déraisonnable, l’injustifiable terreur
«Terror belli… decus pacis.»
Mais pendant «La Terreur», les
Elle cria de terreur.
Il était paralysé par la terreur.
a été celle de l'effroi.
La peur extrême s'est transformée en euphorie
Terreur en temps de guerre… ornement en paix…
Elle poussa un cri de terreur.
Je souffre de vertige.
Le cœur du garçon effrayé palpitait de terreur.
un groupe terroriste toujours capable de perpétuer d'horribles violences.
Certaines personnes ont une peur bleue des souris.
Tom n'a jamais pu oublier l'horreur de la guerre.
Le silence sinistre a fait trembler leurs cœurs.
qui a perdu son fils, Dan Uzan, dans un attentat terroriste
Il y a un avertissement de terreur la veille au soir. Emballez tout!
Sa peur était si grande qu'elle faillit perdre connaissance.
Pour riposter, il commence à lancer des attaques terroristes de plus en plus spectaculaires à l'étranger :
L'armée algérienne a colonisé la Kabylie et a instauré la terreur dans les villages.
ayant pour but l'atteinte grave à l’ordre public par l'intimidation, la terreur ou la violence.
Je souffre de vertige.
les deux frères fichés S pendant trois ans.
Terreur en temps de guerre… ornement en paix… Les mots inscrits sur le bâton de chaque maréchal français.
Un étudiant affirme que la purge n'est pas encore terminée en Chine et que la terreur y règne.
Je souffre de vertige.
À peine j'eus calmé ma première épouvante : / sur ces signes affreux du céleste courroux / je consulte les dieux, et mon père avant tous.
La véritable terreur est de se réveiller un matin et de découvrir que votre classe de lycée dirige le pays.
Il s'approche, il observe : ô comble de la joie ! / Ce sont ses compagnons que le ciel lui renvoie : / c'était Sergeste, Anthée, échappés du trépas. / Il brûle de courir, de voler dans leurs bras ; / mais la crainte retient sa vive impatience.
Alors tout notre sang se glace dans nos veines, / alors nous abjurons nos espérances vaines. / Pour apaiser ce peuple, aux glaives impuissants / nous faisons succéder les prières, l'encens ; / soit qu'on adore en lui les déités des ondes, / soit qu'il n'offre à nos yeux que des oiseaux immondes.