Examples of using "Sails" in a sentence and their french translations:
Hissez les voiles !
- Toutes les voiles étaient descendues.
- Toutes les voiles furent affalées.
Les voiles flottaient dans le vent.
Le bateau fera voile demain pour Honolulu.
- Un coup de vent a gonflé les voiles.
- Une bourrasque a gonflé les voiles.
- Ton bateau part à quatre heures et quart.
- Votre bateau part à quatre heures et quart.
Le bateau passe par le Détroit de Gibraltar.
S'il n'y a pas de vent, les voiles ne peuvent pas se gonfler.
Les voiles du soleil sont levées, maintenant nous pouvons enfin commencer à manger.
Ça lui prendra le vent de la voile.
Dieu fournit le vent, mais l'homme doit hisser les voiles.
par exemple; disparaît après un certain temps alors qu'un navire navigue dans l'eau
Le coup de vent soudain gonfla les voiles et poussa le bateau en avant dans une embardée.
Aujourd'hui il a perdu toute vitalité. Il plonge dans la déprime.
Je ne peux pas changer la direction du vent, mais je peux ajuster mes voiles pour toujours atteindre ma destination.
Alors nous nous courbons sur les flots écumeux, / et la voile baissée a fait place à la rame : / le jour renaît aux cieux, l'espérance en notre âme ; / et de leurs bras nerveux nos ardents matelots / font écumer la mer et bouillonner les flots.
On abaisse la voile, on s'approche du bord, / et le bec des vaisseaux est tourné vers le port. / Creusée à l'orient son enceinte profonde / contre les vents fougueux et les assauts de l'onde / est recourbée en arc, où le flot mugissant / sans cesse vient briser son courroux impuissant. / À l'abri des rochers son eau calme repose ; / des remparts naturels qu'à la vague il oppose / les fronts montent dans l'air comme une double tour ; / leurs bras d'un double mur en ferment le contour ; et le temple, que l'œil croyait voir sur la plage, / recule à notre approche, et s'enfuit du rivage.
Docile au sage avis du divin interprète, / Anchise ordonne alors que la flotte s'apprête, / qu'on rattache la voile, et qu'aux vents fortunés / ses plis prêts à s'ouvrir flottent abandonnés. / Hélénus en ces mots honore sa vieillesse : / " Mortel chéri des dieux, époux d'une déesse, / qui deux fois échappas aux malheurs d'Ilion, / cette Ausonie, objet de ton ambition, / d'ici ton œil la voit, ton espoir la possède ; / mais, pour atteindre au lieu que le destin te cède, / il faut raser ses bords, et par de longs chemins, / voyageur patient, gagner ces champs lointains. / Adieu, vieillard heureux, encor plus heureux père ! / Adieu : déjà l'autan, de son souffle prospère, / sur une mer propice appelle vos vaisseaux. / Adieu : mes souvenirs vous suivront sur les eaux. "
Cependant les Troyens, après de longs efforts, / des champs trinacriens avaient rasé les bords. / Déjà leurs nefs, perdant l'aspect de la Sicile, / voguaient à pleine voile, et de l'onde docile / fendaient d'un cours heureux les bouillons écumants ; / quand la fière Junon, de ses ressentiments / nourrissant dans son cœur la blessure immortelle, / " Quoi ! sur moi les Troyens l'emporteraient, dit-elle ! / Et de ces fugitifs le misérable roi / pourrait dans l'Italie aborder malgré moi ! / Le destin, me dit-on, s'oppose à ma demande : / Junon doit obéir quand le destin commande... "