Examples of using "Sacred" in a sentence and their french translations:
Rien n'est sacré.
S'il y a quelque chose de sacré, le corps humain est sacré.
C'est un droit sacré.
Ce lieu est sacré.
La vie humaine est sacrée.
C'est un droit sacré.
- C'est un sacré numéro.
- Il a du culot.
Les singes sont sacrés, ici.
Le silence est d'or. Il n'est pas sacré.
Rien n'est sacré.
En Inde, la vache est un animal sacré.
L’Homme est une chose sacrée pour l’Homme.
Les vaches sont, pour les Hindous, des animaux sacrés.
Tous les jours sont des jours bénis.
ils acceptent seulement la région comme sacrée
La famille est très sacrée aux Turcs
Les chats étaient des animaux sacrés dans l'Égypte antique.
Les vaches passent, en Inde, pour des animaux sacrés.
Cette terre est sacrée pour mon peuple.
c'est-à-dire, construit comme une église de la sagesse sacrée
En Inde, la vache est un animal sacré.
Le Gange est un fleuve que les Hindous considèrent sacré.
Les vaches sont sacrées pour beaucoup de gens en Inde.
Les habitants de la région d'Urfa le considèrent comme sacré.
Un rite sacré s'est déroulé dans le magnifique temple.
Le mot «aya» signifie le mot sacré «sofia» signifie la sagesse
En outre, il abritait des reliques sacrées très importantes pour Byzance.
La couleur est l'élément le plus sacré de toutes les choses visibles.
la forme du cœur est devenue connue sous le nom de Sacré-Cœur de Jésus.
ils ont montré que l'enseignement est une profession sacrée dans ce film
S'il y a quelque chose de sacré, le corps humain est sacré.
Tatoeba : Où l'attention au détail est sacrée et la sanction prompte.
Une exception fut le Bataillon Sacré, qui délivra un brave dernier combat.
Pendant ce temps, la troisième guerre sacreé de dix ans, disputée à cause de l'exploitation agricole par les Phocidiens
Ensuite, il a monté son cheval, entouré de cinq bannières sacrées et régiments de gardes du corps ...
" Qu'enfin les tiens, toi-même, et ta postérité, / gardent ce saint usage avec fidélité. "
Son traitement indulgent envers les Phocidiens à la fin de la précédente guerre sacrée, il y a plusieurs années, porta ses fruits.
" Chaste Vesta ! dit-il, sainte divinité ! / Sacrés bandeaux ! autels parés pour mon supplice ! / Fer que j'ai vu briller pour l'affreux sacrifice ! "
Cependant, ô délire ! on poursuit sans alarmes, / et dans nos murs enfin, par un zèle insensé, / l'auteur de leur ruine en triomphe est placé.
À chaque fois que je vais à Paris, je vais au Sacré-Cœur m'asseoir sur les marches pour écouter les gens chanter, jouer de la musique.
Il est ton frère ! Ce qui signifie qu'il est issu du même moule que toi. Il doit donc être sacré pour toi !
" Dans Chypre ou dans Cythère, au fond d'un bois sacré, / des vapeurs du sommeil mollement enivré, / je vais le déposer et le cacher moi-même, / pour qu'il ne trouble point notre heureux stratagème. "
À peine on a connu la mort de la victime, / tout frémit d'épouvante : on dit " que de son crime / le coupable a reçu le juste châtiment, / lui dont la main osa sur un saint monument / lancer un fer impie, et d'un bras sacrilège / d'un présent fait aux dieux souiller le privilège. "
Hélénus, méditant ces mystères profonds, / de sa tête sacrée abaisse les festons, / présente à Jupiter un pompeux sacrifice, / implore d'Apollon la bonté protectrice, / me conduit dans son temple, et me dit :
Tout à coup d'Apollon je vois le saint-ministre, / tout pâle des horreurs de cette nuit sinistre, / portant ses dieux vaincus, traînant son petit-fils, / échapper à grands pas au fer des ennemis.
Une île est dans les mers, qu'un golfe étroit sépare / des hauteurs de Mycone et des rocs de Gyare, / délices de Thétis, chère au dieu du trident : / longtemps elle flotta sur l'abîme grondant ; / enfin, du dieu du jour la main reconnaissante / fixa de son berceau la destinée errante ; / et l'heureuse Délos, dans un profond repos, / défia le caprice des vents et des flots.
Ce jour même, sa veuve, inconsolable encor, / hors des murs, dans un bois qui d'un épais ombrage / d'un nouveau Simoïs ornait le doux rivage, / figurant en gazon un triste et vain cercueil, / offrait à son époux le tribut de son deuil. / Pour charmer ses regrets, loin des regards profanes, / à ce lugubre asile elle invitait ses mânes, / l'appelait auprès d'elle ; et, chers à ses douleurs, / deux autels partageaient le tribut de ses pleurs, / l'un pour Astyanax, et l'autre pour son père: / là pleurait tour à tour et l'épouse et la mère.
Lui, dégouttant de sang, souillé de noirs poisons, / qui du bandeau sacré profanent les festons, / raidissant ses deux bras contre ces nœuds terribles, / exhale sa douleur en hurlements horribles.
Caché dans son nuage, il hésite, il balance, / veut savoir leur destin, veut savoir en quels lieux / les ont jetés les vents, les ont conduits les dieux, / quel sort les a sauvés, ou bien sur quel rivage / ils ont laissé la flotte échappée au naufrage, / et quels pressants besoins, quels intérêts nouveaux, / à Carthage ont conduit les chefs de ses vaisseaux.
" Mais du moment funeste / qu'Ulysse, de forfaits détestable inventeur, / que le fils de Tydée, affreux profanateur, / osèrent, à travers la garde massacrée, / enlever sur l'autel son image sacrée, / et que leur bras sanglant d'un sacrilège affront / souilla les saints bandeaux qui couronnent son front, / dès lors plus de succès, plus d'espoir ; la déesse / à son triste destin abandonna la Grèce. / Plus d'un signe effrayant signala son courroux. "