Examples of using "Reign" in a sentence and their french translations:
Pendant son règne
La guerre civile est le règne du crime.
Le règne de Philippe II dura quarante ans.
Donnons libre cours à nos idées et notre imagination,
Le règne de Louis XIV a duré soixante-douze ans.
Au cours du règne de Napoléon, il reçut de l'Empereur des
On dit généralement que le souverain anglais règne mais ne gouverne pas.
C'est sous le règne de Nur ad-Din que Saladin commence sa montée en puissance.
" Dès lors, j'ai des Troyens connu toute l'histoire. "
L'amour ne règne pas, il donne forme, et cela est plus.
La magnificence et la galanterie n’ont jamais paru en France avec tant d’éclat que dans les dernières années du règne de Henri second.
" Nous avons des amis, malgré notre infortune / d'Aceste, des Troyens, l'origine est commune ; / la Sicile, ses ports, ses trésors sont à nous, / et l'ami d'Ilion voudra l'être de vous. "
On considère généralement que le bouddhisme est arrivé en Chine en 67 après J-C. durant le règne de l'empereur Mingdi de la dynastie des Han de l'Est.
" Son empire est au fond de vos roches profondes : / qu'il y tienne sa cour, et, roi de vos cachots, / que votre Éole apprenne à respecter mes flots. "
" O mon fils, que poursuit l'affreux destin de Troie ! / Cassandre, et mon esprit s'en souvient avec joie, / Cassandre, me dit-il, par des avis certains / m'a cent fois de ma race annoncé les destins, / et les champs d'Italus, et les bords d'Hespérie. "
" Par cette mort sanglante Hélénus en partage / obtint une moitié de son riche héritage, / et du nom de Chaon, né du sang des Troyens, / appela ces vallons les Champs Chaoniens : / Pergame fut le nom que prit la citadelle. "
De sa postérité les rejetons naissants, / dont la foule chérie entourait ses vieux ans, / de ses cinquante fils les couches nuptiales, / ces dépouilles des rois, ces pompes triomphales, / trésors, enfants, grandeurs, tout périt sous ses yeux, / et le glaive détruit ce qu'épargnent les feux...
" Mais fuis la mer perfide et la côte d'Épire : / des Grecs nos ennemis ce bord est infesté. "
" Arbitre souverain de l'empire des cieux, / toi qui, régnant dans l'air, sur la terre et sur l'onde, / tiens en main et la foudre et les rênes du monde, / qu'a donc fait mon Énée, et qu'ont fait les Troyens ? / Sauvés par mes secours du fer des Argiens, / faut-il, pour leur fermer les chemins d'Ausonie, / que de tout l'univers leur race soit bannie ? "
" Troyens ! c'est au berceau de vos premiers parents / que je promets un terme à vos destins errants ; / allez, et recherchez la terre paternelle : / là, naîtra de vainqueurs une race éternelle ; / là règneront Énée et ses derniers neveux, / et les fils de ses fils, et ceux qui naîtront d'eux. "
Bien loin de ma patrie est une vaste terre, / que consacra Lycurgue au grand dieu de la guerre : / dans des temps plus heureux, les dieux hospitaliers / unissaient les Troyens à ces peuples guerriers.
Céléno reste seule, et ses cris menaçants / font du haut d'un rocher entendre ces accents : / " Lâches usurpateurs de notre antique terre ! / Quoi ! pour un vil butin vous nous livrez la guerre ! "
" Mais, pour mieux vous calmer, je veux de votre Énée / suivre dans tout son cours la haute destinée. / De ce fils, votre amour, cent combats glorieux / signaleront bientôt le bras victorieux. / Vainqueur de l'Ausonie, à ses peuples dociles / il donnera des mœurs, et des lois, et des villes. / Là, tandis que l'état fleurira sous ses lois, / le printemps aux frimas succédera trois fois. "
Didon les fait d'abord admettre en sa présence. / À peine au bruit confus succède le silence, / celui dont l'âge mûr a mérité leur choix, / Ilionée, ainsi fait entendre sa voix : / " Grande reine ! dit-il d'un ton plein de noblesse, / vous dont ces murs naissants attestent la sagesse, / et qui, donnant des mœurs à ce peuple indompté, / avez au frein des lois asservi sa fierté, / d'un peuple généreux, que le malheur accable, / vous voyez devant vous le reste déplorable ; / il vient vous implorer. À peine nos vaisseaux / échappaient aux fureurs et des vents et des eaux, / une troupe ennemie, au sortir du naufrage, / a menacé des feux ce qu'épargna l'orage. / O reine ! ouvrez l'oreille à nos cris douloureux ; / sachez ce qu'on nous doit, en sachant qui nous sommes. "
Mais un bruit menaçant vient alarmer son âme : / un jour doit s'élever, des cendres de Pergame, / un peuple, de sa ville orgueilleux destructeur, / et du monde conquis vaste dominateur : / du sort impérieux tel est l'ordre suprème.
Aussi, pour réprimer leur fougue vagabonde, / Jupiter leur creusa cette prison profonde, / entassa des rochers sur cet affreux séjour, / et leur donna pour maître un roi qui, tour à tour / irritant par son ordre ou calmant leurs haleines, / sût tantôt resserrer, tantôt lâcher les rênes.