Examples of using "Oft" in a sentence and their french translations:
und oft richtig gute Angebote für die Kinder.
Souvent femme et vent d'hiver varient.
Les femmes mènent bien loin parfois un homme généreux avec leur douce voix.
" Quoique leur ennemi, Teucer vantait leur gloire ; / il se disait issu de leurs antiques rois ; / surtout, je m'en souviens, il vantait vos exploits. "
" Hélas ! et plût aux cieux que mon sort l'eût permis ! / Mais, ou le vent contraire, ou l'affreuse tempête, / souvent retint leur flotte à partir déjà prête. "
Nos doutes sont des traîtres, qui nous font perdre le bien que nous pourrions souvent gagner, parce que nous craignons de le tenter.
" Tu vois ton frère Énée assailli de revers, / victime de Junon, et le jouet des mers ; / tu le vois, et, pour lui partageant ma tendresse, / cent fois j'ai vu ton cœur ressentir ma tristesse. "
" O mon fils, que poursuit l'affreux destin de Troie ! / Cassandre, et mon esprit s'en souvient avec joie, / Cassandre, me dit-il, par des avis certains / m'a cent fois de ma race annoncé les destins, / et les champs d'Italus, et les bords d'Hespérie. "
" Avec un feint effroi, qui colorait son piège, / le perfide poursuit : " Les Grecs, las d'un long siège, / souvent ont voulu fuir ces remparts ennemis. " "
" Non, non, ce ne sont point ces objets de ta haine, / non, ce n'est point Pâris, ni l'odieuse Hélène, / c'est le courroux des dieux qui renverse nos murs. "
Son fils la reconnaît, et, tandis qu'elle fuit, / de ses yeux, de sa voix, longtemps il la poursuit, / et, l'œil baigné de pleurs : " Quoi ! toi-même, ô ma mère ! / tu te plais à tromper un fils qui te révère ! / Ah ! quand pourra ton fils te presser sur son sein, / mes yeux fixer tes yeux, ma main serrer ta main ? / N'abuse plus mes sens ; que le fils le plus tendre / puisse en effet te voir, te parler et t'entendre ! "
Quoi ! le sang regorgea sur ces bords malheureux ; / Priam meurt sous le fer, Ilion dans les feux ; / et, fière de nos maux, la détestable Hélène, / dans les remparts d'Argos rentrant en souveraine, / ira, foulant des fleurs sous ses pas triomphants, / retrouver son palais, ses aïeux, ses enfants ! / et, d'esclaves Troyens en pompe environnée, / des trésors d'Ilion marchera couronnée !
" Enfin, dans l'avenir s'il m'est permis de lire, / Hélénus ne peut trop le dire et le redire : / Junon fit tous tes maux et les prolonge tous : / de la reine des dieux désarme le courroux ; / n'épargne point l'encens, les vœux, ni la prière : / ainsi tu fléchiras cette déesse altière ; / et tes heureux vaisseaux des bords siciliens / parviendront sans obstacle aux ports ausoniens. "