Examples of using "Véleményét" in a sentence and their french translations:
Il change souvent d'avis.
Peut-être changera-t-il d'opinion.
Je veux connaître ton opinion.
Tom garda son opinion pour lui.
- On le persuada de changer sa décision.
- Il a été amené à changer d'avis.
Puis-je vous demander votre avis ?
- Je ne faisais que répéter son opinion.
- Je faisais juste écho à son opinion.
On le persuada de changer sa décision.
C'est intéressant d'entendre quelqu'un qui vient d'un autre horizon.
Malgré mon conseil, il ne changera pas d'avis.
Il donne toujours une grande valeur à l'opinion de sa femme.
Le président devrait tenir compte de l'opinion minoritaire.
Pourquoi cet homme politique tente-t-il d'étouffer l'opinion de la majorité ?
- Je ne sais pas pour les autres, mais pour ce qui me concerne, je suis pour.
- Je ne sais pas pour les autres, mais quant à moi, je suis pour.
- Je ne sais pas pour les autres, mais en ce qui me concerne, je suis pour.
Ne contredis pas ta femme, attends qu'elle change d'avis.
Donnez-moi votre opinion s'il vous plaît.
Les politiciens doivent prendre en considération l'opinion publique.
Il n'y a pas, à ce stade de l'histoire mondiale aux États-Unis d'Amérique, de chose telle qu'une presse indépendante. Vous le savez et je le sais. Il n'y a pas un de vous qui ose écrire ses franches opinions, et si vous le faisiez, vous savez d'avance qu'elles ne seraient jamais publiées. Je suis hebdomadairement payé pour tenir mes franches opinions à distance du journal auquel je suis lié. D'autres d'entre vous reçoivent de mêmes émoluments pour des choses similaires, et n'importe lequel d'entre vous qui serait assez bête pour écrire de franches opinions serait à la rue à chercher un autre emploi. Si je laissais mes franches opinions être publiées dans l'une des parutions de mes journaux, mon emploi s'évaporerait avant vingt-quatre heures. Le boulot du journaliste est de détruire la vérité, de mentir effrontément, de pervertir, de diaboliser, de lécher les pieds de Mammon et de vendre son pays et sa race pour gagner son pain quotidien. Vous le savez et je le sais, et quelle folie est cette célébration d'une presse indépendante ? Nous sommes des pantins, ils tirent les ficelles et nous dansons. Nos talents, nos possibilités et nos vies sont tous la propriété d'autres hommes. Nous sommes des prostitués intellectuels.
Il n'y a pas, à ce stade de l'histoire mondiale aux États-Unis d'Amérique, de chose telle qu'une presse indépendante. Vous le savez et je le sais. Il n'y a pas un de vous qui ose écrire ses franches opinions, et si vous le faisiez, vous savez d'avance qu'elles ne seraient jamais publiées. Je suis hebdomadairement payé pour tenir mes franches opinions à distance du journal auquel je suis lié. D'autres d'entre vous reçoivent de mêmes émoluments pour des choses similaires, et n'importe lequel d'entre vous qui serait assez bête pour écrire de franches opinions serait à la rue à chercher un autre emploi. Si je laissais mes franches opinions être publiées dans l'une des parutions de mes journaux, mon emploi s'évaporerait avant vingt-quatre heures. Le boulot du journaliste est de détruire la vérité, de mentir effrontément, de pervertir, de diaboliser, de lécher les pieds de Mammon et de vendre son pays et sa race pour gagner son pain quotidien. Vous le savez et je le sais, et quelle folie est cette célébration d'une presse indépendante ? Nous sommes des pantins, ils tirent les ficelles et nous dansons. Nos talents, nos possibilités et nos vies sont tous la propriété d'autres hommes. Nous sommes des prostitués intellectuels.