Examples of using "Utcán" in a sentence and their french translations:
- Je l'ai vu dans la rue.
- Je l'ai rencontré dans la rue.
- Elle a traversé la rue.
- Elle traversa la rue.
- Je traversai la rue.
- J'ai traversé la rue.
Il marchait dans la rue.
Tom traversa la rue.
Ne joue pas dans la rue.
Tom traversa la rue.
Traversons la rue.
Je l'ai rencontrée dans la rue.
Des gamins jouent dans la rue.
- Je l'ai vu traverser la route.
- Je l'ai vu traverser la rue.
Je viens de la rencontrer sur la rue.
Il y avait des centaines de voitures dans la rue.
Je l'ai aidé à traverser la rue.
Il a traversé la rue à pied au feu rouge.
- J'ai rencontré par hasard ton frère dans la rue.
- J'ai rencontré ton frère dans la rue par hasard.
J'ai trouvé un porte-monnaie dans la rue.
Les enfants jouent dans la rue.
alors que des bombes lacrymogènes explosaient dans les rues.
celles-ci sont toujours en vadrouille.
Il y avait des centaines de voitures dans la rue.
- Allez tout le long de cette rue.
- Va tout droit dans cette rue.
Nous avons rencontré notre professeur par hasard hier dans la rue.
et en général, dans notre vie publique et professionnelle,
Nous, les jeunes de la rue, nous, les étudiants grévistes,
C'est ce que vous constaterez en utilisant Dollar Street.
En marchant dans la rue, j'ai rencontré un vieil ami.
et je jouais dans la rue avec un copain, un peu plus âgé que moi.
- Elle a aidé le vieil homme à traverser la rue.
- Elle a aidé le vieil homme à traverser la route.
C'est plus facile de draguer les gens sur internet que dans la rue.
J'ai entendu cette phrase dans la rue il y a environ une heure.
Les mères devraient empêcher leurs enfants de jouer dans les rues.
Pour aller là-bas depuis ici, tu as juste besoin de traverser la deuxième intersection.
Personne ne parlera ensuite d'autre langue que le turc au palais, au gouvernement, dans les réunions et dans la rue.
Descendez la rue tout droit et lorsque vous passez le feu, vous y êtes.
Il n'y a pas, à ce stade de l'histoire mondiale aux États-Unis d'Amérique, de chose telle qu'une presse indépendante. Vous le savez et je le sais. Il n'y a pas un de vous qui ose écrire ses franches opinions, et si vous le faisiez, vous savez d'avance qu'elles ne seraient jamais publiées. Je suis hebdomadairement payé pour tenir mes franches opinions à distance du journal auquel je suis lié. D'autres d'entre vous reçoivent de mêmes émoluments pour des choses similaires, et n'importe lequel d'entre vous qui serait assez bête pour écrire de franches opinions serait à la rue à chercher un autre emploi. Si je laissais mes franches opinions être publiées dans l'une des parutions de mes journaux, mon emploi s'évaporerait avant vingt-quatre heures. Le boulot du journaliste est de détruire la vérité, de mentir effrontément, de pervertir, de diaboliser, de lécher les pieds de Mammon et de vendre son pays et sa race pour gagner son pain quotidien. Vous le savez et je le sais, et quelle folie est cette célébration d'une presse indépendante ? Nous sommes des pantins, ils tirent les ficelles et nous dansons. Nos talents, nos possibilités et nos vies sont tous la propriété d'autres hommes. Nous sommes des prostitués intellectuels.
Il n'y a pas, à ce stade de l'histoire mondiale aux États-Unis d'Amérique, de chose telle qu'une presse indépendante. Vous le savez et je le sais. Il n'y a pas un de vous qui ose écrire ses franches opinions, et si vous le faisiez, vous savez d'avance qu'elles ne seraient jamais publiées. Je suis hebdomadairement payé pour tenir mes franches opinions à distance du journal auquel je suis lié. D'autres d'entre vous reçoivent de mêmes émoluments pour des choses similaires, et n'importe lequel d'entre vous qui serait assez bête pour écrire de franches opinions serait à la rue à chercher un autre emploi. Si je laissais mes franches opinions être publiées dans l'une des parutions de mes journaux, mon emploi s'évaporerait avant vingt-quatre heures. Le boulot du journaliste est de détruire la vérité, de mentir effrontément, de pervertir, de diaboliser, de lécher les pieds de Mammon et de vendre son pays et sa race pour gagner son pain quotidien. Vous le savez et je le sais, et quelle folie est cette célébration d'une presse indépendante ? Nous sommes des pantins, ils tirent les ficelles et nous dansons. Nos talents, nos possibilités et nos vies sont tous la propriété d'autres hommes. Nous sommes des prostitués intellectuels.