Translation of "Douleurs" in Portuguese

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Examples of using "Douleurs" in a sentence and their portuguese translations:

J'ai d'affreuses douleurs.

Eu tenho dores terriveis.

J'ai des douleurs insupportables.

Eu tenho dores insuportáveis.

J'ai de fortes douleurs menstruelles.

Eu tenho fortes dores menstruais.

Il y a des personnes avec des douleurs

Existem pessoas com determinadas condições

Chez les personnes avec des angoisses et des douleurs

entre aqueles indivíduos que estavam ansiosos, com dores

Chaque fois qu'elle toussait, elle ressentait de fortes douleurs.

Cada vez que ela tossia, sentia fortes dores.

- J'ai mal à l'épaule.
- Mon épaule me fait mal.
- J'ai des douleurs à l'épaule.

- Eu estou com dor no ombro.
- Meu ombro dói.

Mais l'ombre calme ainsi les douleurs qui m'oppressent : / " Pourquoi t'abandonner à de si vains regrets ? "

Então ela / tenta tranquilizar-me assim falando: / “Meu terno esposo, de que vale te entregares / aos excessos da dor?"

" Cette plaintive voix, ces accents de douleurs / étonnent les esprits, amollissent les cœurs ; / on demande son nom, son état, sa naissance, / et quels droits il apporte à notre confiance. "

"Mudam-se os ânimos depois de tal lamento / e toda a sanha vê-se reprimida. / Então o interrogamos: de que estirpe / era nascido, o que mais tinha a expor / e como nos faria acreditar / num prisioneiro."

" Hélas ! par cet espoir j'aimais à me venger ; / à nos malheurs passés j'opposais cette joie, / et Rome adoucissait les désastres de Troie : / chaque jour cependant reproduit nos malheurs. / Grand roi ! quand mettrez-vous un terme à nos douleurs ? "

"Essa promessa, que por certo compensava / com destino glorioso o fado adverso, / é que me consolava da tristeza / de ver Troia cair e ser destruída. / Mas eis que a mesma sorte ainda persegue / aqueles homens que por tantos infortúnios / já foram vitimados. Grande rei, / por que não findas dessa gente o sofrimento?"

J'arrive enfin, j'arrive au palais paternel ; / je vole vers mon père : ô désespoir cruel ! / Mon père, qu'avant tout doit sauver ma tendresse, / quand je veux au danger dérober sa vieillesse, / refuse de survivre à nos communs malheurs, / et d'aller dans l'exil prolonger ses douleurs.

Quando chego, porém, ao solar pátrio, / antigo lar de tantos ancestrais, / meu pai, a quem vou logo procurar, / desejando levá-lo incontinenti / para as alturas do Ida, se recusa / a prolongar a vida e suportar o exílio, / deixando atrás de si Troia arrasada.

Ce jour même, sa veuve, inconsolable encor, / hors des murs, dans un bois qui d'un épais ombrage / d'un nouveau Simoïs ornait le doux rivage, / figurant en gazon un triste et vain cercueil, / offrait à son époux le tribut de son deuil. / Pour charmer ses regrets, loin des regards profanes, / à ce lugubre asile elle invitait ses mânes, / l'appelait auprès d'elle ; et, chers à ses douleurs, / deux autels partageaient le tribut de ses pleurs, / l'un pour Astyanax, et l'autre pour son père: / là pleurait tour à tour et l'épouse et la mère.

Num bosque à entrada da cidade, à margem / de um novo Xanto, Andrômaca ofertava / funéreos dons, solenes iguarias, / às cinzas do finado esposo e lhe evocava / os manes junto ao túmulo vazio, / de verde relva, e aos dois altares consagrados / aos seus pranteados Astianaz e Heitor.