Translation of "épargne" in Portuguese

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Examples of using "épargne" in a sentence and their portuguese translations:

- Je souhaite clôturer mon compte d'épargne.
- Je souhaite clôturer mon compte épargne.

Gostaria de fechar minha conta de poupança.

- J'ai beaucoup d'argent sur mon compte épargne.
- J'ai beaucoup d'argent sur mon compte d'épargne.

Eu tenho muito dinheiro na minha conta poupança.

- Il épargne afin de pouvoir aller à l'université.
- Économise afin de pouvoir aller à l'université.

Economize, assim você pode cursar uma faculdade.

- L'ordinateur nous épargne du temps et des problèmes.
- Les ordinateurs nous épargnent beaucoup de temps et d'ennuis.

Os computadores nos salvam de perdas de tempo e de problemas.

" Mais vous, si je vous sers, ô généreux Troyens ! / si je sauve vos jours, qu'on épargne les miens ! "

"Espero apenas, Troia, que mantenhas / a palavra empenhada e me sejas leal, / eis que também te presto importante serviço, / revelando a verdade que te salva."

" Épargne-toi le soin de repasser les flots ; / Apollon nous envoie ; et, ce qu'eût fait entendre / l'oracle de Délos, nous pouvons te l'apprendre. "

“Tudo o que Apolo te diria quando a Delos / tivesses retornado, ele aqui mesmo / irá vaticinar; com tal encargo, / expressamente, o deus a ti nos manda."

" Le doux aspect du Xanthe adoucit vos destins ; / notre Ilion revit relevé par vos mains. / Puisse un destin plus doux respecter votre ouvrage ! / Que la Grèce de Troie épargne au moins l'image ! "

"Dispondes de uma réplica do Xanto / e erguestes nova Troia sob auspícios / melhores – é o que espero – e que a possam deixar / menos exposta à fúria e ao dolo dos aqueus."

"Pars, emmène les tiens de ces funestes lieux, / du triomphe des Grecs épargne-leur l'insulte : / Ilion te remet le dépôt de leur culte. / Cherche-leur un asile, et qu'au-delà des mers / leur nouvelle cité commande à l'univers ! "

"Tua pátria confia-te os objetos / de seu culto e seus deuses: companheiros / que possam eles ser do teu destino. / Recebe-os e procura-lhes construir / imponente cidade, assim que se conclua / tua incerta jornada pelo mar.”

" Fils d'Anchise, pourquoi, souillant des mains si pures, / viens-tu troubler mon ombre et rouvrir mes blessures ? / Hélas ! respecte au moins l'asile du trépas ; / d'un insensible bois ce sang ne coule pas. / Cette contrée a vu terminer ma misère ; / mais celle où tu naquis ne m'est point étrangère : / épargne donc ma cendre, ô généreux Troyen ! / Ma patrie est la tienne, et ce sang est le mien. / Ah ! fuis ces lieux cruels, fuis cette terre avare : / j'y péris immolé par un tyran barbare. / Polydore est mon nom ; ces arbustes sanglants / furent autant de traits qui percèrent mes flancs. / La terre me reçut ; et, dans mon sein plongée, / leur moisson homicide en arbres s'est changée. "

“Por que razão, Eneias, dilaceras / este infeliz? Oh, deixa-me sepulto! / Evita conspurcar as mãos piedosas. / Não sou estranho para ti – gerou-me Troia – / nem da planta este humor está manando. / Oh! Foge destas plagas desumanas, / foge da terra da cobiça e da avareza. / Sou Polidoro: neste sítio me prostraram / sob uma chuva de assassinas flechas, / hoje em pontudas hastes convertidas.”