Examples of using "Winds" in a sentence and their french translations:
avec les alizés.
Les vents sont forts.
Les vents accablent le village.
Les vents de mer sont humides.
Il y avait beaucoup de vent.
Des vents forts ont accompagné la pluie.
et utilise les vents stratosphériques
Cette vigne grimpe autour des arbres.
car il y a des vents très violents.
Les vents de mer sont humides.
- Le chemin serpente à travers la forêt.
- Le sentier serpente dans les bois.
Les vents de mer sont humides.
Le chemin serpente le long de la route.
Outre la pluie, nous avons eu des vents très forts.
Mais les vents de la chance sont toujours là,
Des vents forts dépouillèrent l'arbre de ses feuilles.
Ils disent que nous allons avoir des vents forts.
Le vent ne souffle pas au gré des navires.
L'aigle est le roi des vents.
Une chaîne de montagnes protège la vallée des vents du nord.
Alors, comment attraper les vents de la chance ?
Les vents de mars et les pluies d'avril laissent place aux fleurs de mai.
Ça finit toujours par être de ma faute, n'est-ce pas ?
Un petit ruisseau serpente à travers les champs.
Il y a toute cette lumière, radiation de chaleur, ces vents et particules.
Le toit fut arraché à cause des vents forts.
Une chaîne de montagnes protège la vallée des vents du nord.
Hier la tempête n'a pas seulement fait rage, mais il a aussi fortement plu.
" Nous les croyons partis ; sur les liquides plaines / nous croyons que le vent les remporte à Mycènes. "
Mais c'étaient les vents auxquels nous ne nous attendions pas au début.
Ces vents nous ont emporté à plus de 6 km des débris.
Le grand astre des cieux recommençait son tour, / et déjà sur les mers Borée est de retour.
L'homme n'atteint pas tout ce qu'il espère. Les vents ne soufflent pas au gré des voiliers.
" Commandez à vos vents de servir ma furie ; / dispersez sur les mers ou noyez leurs vaisseaux, / et de leurs corps épars couvrez au loin les eaux. "
" Son empire est au fond de vos roches profondes : / qu'il y tienne sa cour, et, roi de vos cachots, / que votre Éole apprenne à respecter mes flots. "
" Fuyez, et courez dire à votre souverain / que le sort n'a pas mis le trident en sa main, / que moi seul en ces lieux tiens le sceptre des ondes. "
Ainsi parla mon père, et deux taureaux sacrés / sont aux dieux protecteurs offerts en sacrifice : / l'un rend à nos destins le dieu des mers propice, / et l'autre d'Apollon implore les faveurs ; / ensuite deux brebis diverses de couleurs / sont offertes aux dieux de l'orageux empire, / la noire aux Vents fougueux, la blanche au doux Zéphyre.
Dès qu'on put se fier à l'humide élément, / sitôt que de l'Auster l'heureux frémissement / promit à notre course une mer sans naufrage, / nos vaisseaux reposés s'élancent du rivage : / on part, on vole au gré d'un vent rapide et doux ; / et la ville et le port sont déjà loin de nous.
Pareil est son habit, pareil est son carquois ; / sa flèche semble attendre un habitant des bois ; / un souple brodequin compose sa chaussure ; / au-dessus du genou, les nœuds de sa ceinture / de ses légers habits serrent les plis mouvants / et ses cheveux épars flottent au gré des vents.
Il dit ; et, du revers de son sceptre divin, / du mont frappe les flancs : ils s'ouvrent, et soudain / en tourbillons bruyants l'essaim fougueux s'élance, / trouble l'air, sur les eaux fond avec violence.
" Là s'adressaient nos pas, lorsqu'un astre funeste, / déchaînant la tempête, et courrouçant les eaux, / parmi d'affreux rochers a jeté nos vaisseaux ; / et de nos compagnons échappés au naufrage / à peine un petit nombre a gagné le rivage. "
Tels, quand des vents rivaux les fières légions / se disputent de l'air les vastes régions, / le rapide Zéphyr, l'Autan plus prompt encore, / l'Eurus, fier de monter les coursiers de l'Aurore, / ébranlent les forêts, troublent la paix des airs, / et Neptune en courroux bouleverse les mers.
Une île est dans les mers, qu'un golfe étroit sépare / des hauteurs de Mycone et des rocs de Gyare, / délices de Thétis, chère au dieu du trident : / longtemps elle flotta sur l'abîme grondant ; / enfin, du dieu du jour la main reconnaissante / fixa de son berceau la destinée errante ; / et l'heureuse Délos, dans un profond repos, / défia le caprice des vents et des flots.
" Enfin du mont Ida le bois religieux, / là nous attend le sort, là nous guident les dieux. / Mais apaisons d'abord les puissances de l'onde ; / et, si le vent nous sert, si le ciel nos seconde, / trois jours nous porteront sur ces bords désirés. "
En prononçant ces mots, la déesse en furie / vers ces antres, d'Éole orageuse patrie, / précipite son char.
Là, sous de vastes monts, / le dieu tient enchaînés dans leurs gouffres profonds / les vents tumultueux, les tempêtes bruyantes.
" Dans ces extrémités, incertains que résoudre, / tremblants, nous envoyons interroger Délos, / et le trépied fatal nous répond en ces mots : / " Par le sang d'une vierge offerte en sacrifice, / la Grèce à son départ obtint un vent propice : / il faut encor du sang ; et d'un Grec à son tour, / la mort doit de sa flotte acheter le retour... "
Ainsi, parmi les cris, les sanglots et les larmes, / d'un touchant entretien elle goûte les charmes ; / lorsque, de son tyran successeur couronné, / Hélénus de sa cour s'avance environné, / nous reconnaît, nous mène à sa nouvelle Troie, / et mêle à chaque mot une larme de joie.
S'agitant de fureur dans leurs prisons tremblantes, / ils luttent en grondant, ils s'indignent du frein. / Au haut de son rocher, assis le sceptre en main, / Éole leur commande ; il maîtrise, il tempère / du peuple impétueux l'indocile colère : / s'ils n'étaient retenus, soudain cieux, terre, mers, / devant eux rouleraient emportés dans les airs.
Le port creusé dans ces rivages / garde un calme profond ; mais par d'autres orages / l'épouvantable Etna trouble, en grondant, ces lieux ; / bientôt déploie en l'air des colonnes de feux ; / tantôt, des profondeurs de son horrible gouffre, / de flamme et de fumée, et de cendre et de soufre, / dans le ciel obscurci lance d'affreux torrents ; / tantôt, des rocs noircis par ses feux dévorants / arrachant les éclats, de ses voûtes tremblantes / vomit, en bouillonnant, ses entrailles brûlantes.
Le vent tonne en courroux sur les mers qu'il tourmente ; / le flot monte et retombe en montagne écumante ; / l'œil ne distingue plus ni le jour, ni la nuit ; / le pilote éperdu, que la frayeur conduit, / abandonne au hasard sa course vagabonde. / Sur nous le ciel mugit ; sous nos pieds la mer gronde ; / le tonnerre redouble, et de l'air ténébreux / mille horribles éclairs sont les astres affreux.
" Elle-même, tonnant du milieu des nuages, / bouleversa les mers, déchaîna les orages, / dans un noir tourbillon saisit l'infortuné / qui vomissait des feux de son flanc sillonné, / et de son corps lancé sur des roches perçantes / attacha les lambeaux à leurs pointes sanglantes. "
Le rapide Zéphire, et les fiers aquilons, / et les vents de l'Afrique, en naufrages féconds, / tous bouleversent l'onde, et des mers turbulentes / roulent les vastes flots sur leurs rives tremblantes. / On entend des nochers les tristes hurlements, / et des cables froissés les affreux sifflements.
Devant lui la déesse abaissant sa hauteur : / " Roi des vents, lui dit-elle avec un air flatteur, / vous à qui mon époux, le souverain du monde, / permit et d'apaiser et de soulever l'onde, / un peuple que je hais, et qui, malgré Junon, / ose aux champs des Latins transporter Ilion, / avec ses dieux vaincus fend les mers d'Étrurie. "
" Enfin, dans l'avenir s'il m'est permis de lire, / Hélénus ne peut trop le dire et le redire : / Junon fit tous tes maux et les prolonge tous : / de la reine des dieux désarme le courroux ; / n'épargne point l'encens, les vœux, ni la prière : / ainsi tu fléchiras cette déesse altière ; / et tes heureux vaisseaux des bords siciliens / parviendront sans obstacle aux ports ausoniens. "