Examples of using "Sank" in a sentence and their french translations:
Je coulais.
Tom coulait.
Le bateau a coulé.
- Mon cœur se racornit.
- Mon cœur a chaviré.
Donc ça a coulé
Je sombrai dans l'inconscience.
La tempête a coulé le bateau.
Ils coulèrent dix navires ennemis.
Ils ont coulé.
- Le Titanic a coulé en 1912.
- Le Titanic coula en 1912.
Le bateau sombra en un instant.
Le bateau a coulé durant la tempête.
Hier un bateau a coulé près d'ici.
Le bateau a coulé au fond.
Le courage lui a manqué.
J'ai eu les boules.
Il est clair que le bateau a coulé.
Il ployait sous le poids des années.
Le soleil disparut lentement sous l'horizon.
Le sous-marin plongea, pour ne plus jamais émerger.
- Les sous-marins ont détruit de nombreux navires.
- Les sous-marins ont coulé beaucoup de navires.
Elle a coulé sous la surface de l'eau.
La pluie tombait alors le terrain s'éboula.
Le bateau a coulé au fond du lac.
Cent ans ont passé depuis que le Titanic a coulé.
Ce bateau a coulé avec tout son équipage.
Le soleil plongea derrière l'horizon et il fit sombre.
Le Titanic coula lors de son voyage inaugural. C'était un gros navire.
C'est en 1912 que le Titanic a coulé lors de son premier voyage.
Un navire cargo, à destination d'Athènes, a sombré en Méditerranée sans laisser de trace.
Je vis des feux rouges clignotants dans mon rétroviseur central et mon cœur se serra.
Il est clair que le bateau a coulé.
Tom et Marie sont allés en croisière près de l'Italie pour leur lune de miel, mais le bateau a coulé et Tom s'est noyé dans sa cabine.
Il vida un pichet de bière.
Ainsi tombe la vague ; ainsi des mers profondes / Neptune d'un coup d'œil tranquillise les ondes, / court, vole, e, sur son char roulant sous un ciel pur, / de la plaine liquide il effleure l'azur.
Je cherche autour de moi si quelque ami me reste : / tous ont péri... Poussés d'un désespoir funeste, / tous de nos toits brûlants se sont précipités.
" C'est nous qui, compagnons de périls, de travaux, / suivîmes ton exil, partageâmes tes maux ; / c'est nous qui, terminant ta course vagabonde, / à ta race immortelle asservirons le monde. / Ose donc mériter ta future splendeur. "
Alors tout notre sang se glace dans nos veines, / alors nous abjurons nos espérances vaines. / Pour apaiser ce peuple, aux glaives impuissants / nous faisons succéder les prières, l'encens ; / soit qu'on adore en lui les déités des ondes, / soit qu'il n'offre à nos yeux que des oiseaux immondes.
Achate au chef troyen tient alors ce langage : / " Fils des dieux ! vous voyez, vos vaisseaux sont sauvés, / vos guerriers réunis, vos amis retrouvés : / un seul manque à nos vœux, malheureuse victime, / que la mer à nos yeux engloutit dan l'abîme. / Au discours de Vénus jusqu'ici tout répond. "