Examples of using "Adopt" in a sentence and their french translations:
Merci d'adopter cette phrase !
- Nous avons décidé d'adopter ton idée.
- Nous avons décidé d'adopter votre idée.
Nous l'avons adopté comme notre représentant.
Nous avons décidé d'adopter un enfant.
Ma femme veut adopter un enfant.
- Mon épouse voulait adopter un enfant.
- Ma femme voulait adopter un enfant.
Le couple décida d'adopter un orphelin.
Je suggère que nous adoptions des tactiques flexibles pour le moment.
Si tu ne peux pas avoir d'enfants, tu peux toujours en adopter.
Je pense que c'est mieux pour nous d'adopter son plan.
Vous gagnerez du temps si vous adoptez cette nouvelle procédure.
Il existe aujourd'hui de nombreuses études qui montrent qu'ils
La moralité n'est jamais que l'attitude que nous adoptons face aux gens que nous détestons.
Ils décidèrent d'adopter un enfant plutôt que d'en avoir un à eux.
C'est une de ces opinions si absurdes que seuls des hommes très savants pourraient l'adopter.
Certaines personnes n'ont pas d'ensemble de principes cohérent ; ils adoptent simplement n'importe quel principe qui leur bénéficie sur le moment.
Toutes les institutions devraient adopter une présomption en faveur de la publication, afin de renouveler leur engagement envers les principes incarnés par la Loi Pour la Liberté d'Information et conduire vers une nouvelle ère de gouvernement ouvert.
Cette phrase n'a pas de possesseur. Vous pouvez l'adopter et la changer, pourvu qu'elle corresponde toujours aux autres traductions directes, auquel cas vous devriez prévenir les traducteurs de vos changements, en commentant leurs traductions.
La mondialisation est devenue folle : Pourquoi transporter des concombres espagnols pour aller exterminer des Allemands du Nord alors que la moitié d'entre eux vivent sur Majorque ? Il faut rationaliser tout ça et adopter un mode d'extermination bactérienne plus durable.
C'est un invariant de l'Histoire. Le gaulois a disparu parce que les élites gauloises se sont empressées d'envoyer leurs enfants à l'école romaine. Tout comme les élites provinciales, plus tard, ont appris à leur progéniture le français au détriment des langues régionales. Les classes dominantes sont souvent les premières à adopter le parler de l'envahisseur. Elles font de même aujourd'hui avec l'anglais.