Examples of using "Grego" in a sentence and their french translations:
Parles-tu grec ?
Émilie veut apprendre le grec.
Le grec est difficile à apprendre.
C'est du chinois pour moi.
Jorgen apprend le grec.
Je parle le grec ancien.
Connaissez-vous quelques mythes grecs ?
C'est du chinois pour moi.
- C'est du chinois.
- C’est de l’hébreu.
Ce mot vient du grec.
Il sait aussi parler un peu de grec.
Le grec ancien s'écrivait en boustrophédon.
Le latin n'est pas aussi difficile que le grec.
Il a traduit Homère du grec à l'anglais.
Les poèmes d'Homère sont écrits en grec.
L'alphabet grec est dérivé de l'alphabet phénicien.
Pour moi c'est du chinois.
C'est écrit en grec et ça veut dire "bonne chance".
- C'est du chinois.
- C'est du chinois pour moi.
- C’est de l’hébreu.
Je ne suis ni Athénien, ni Grec, mais un citoyen du monde.
Le grec et le latin sont des langues utiles, c’est pour ça que je les étudie.
L'alphabet latin est dérivé d'une forme locale de l'alphabet grec.
Le grec et le latin sont des langues utiles, c’est pour ça que je les étudie.
Le discours artificieux d’un Grec resté dans le camp séduit le peuple.
L’œuvre à couper le souffle de sa courte vie inaugureront l'ère hellénistique:
Tu peux peut-être lire ce qu'il y a écrit sur le mur, mais pour moi, c'est de l'hébreu.
« Voie lactée » et « galaxie » sont des termes qui, respectivement en latin et en grec, sont associés au lait.
La botanique c'est l'art de sécher les plantes entre des feuilles de papier et de les injurier en grec et en latin.
Là il reçoit sur son bord un malheureux Grec de la suite d'Ulysse, nommé Acheménide, qui était resté sur cette côte abandonné par ses compagnons.
Ce Grec raconte aux Troyens l'aventure d'Ulysse dans la caverne de Polyphème, et leur fait le détail des cruautés des autres Cyclopes dont il s'est garanti.
Le Grec qui était sur son vaisseau lui fait remarquer toutes les côtes que la flotte rangeait ; ce qui fait une savante exposition de l'ancienne géographie.
Un bouclier d'Abas, devenu ma conquête, / du temple par mes mains a décoré le faîte ; / et je grave au-dessous du monument guerrier : ÉNÉE AUX GRECS VAINQUEURS RAVIT CE BOUCLIER.
Les Strophades ( la Grèce ainsi nomma ces îles ) / aux nochers rassurés présentent leurs asiles ; / et, de loin dominant les flots ioniens, / sur leurs tranquilles bords appellent les Troyens. / Vain espoir ! Céléno, la reine des Harpies, / infecta ces beaux lieux de ses troupes impies, / depuis que Calaïs à leur brutale faim / du malheureux Phinée arracha le festin.
" Teucer, je m'en souviens, banni de son pays, / dans Chypre, alors soumise à notre obéissance, / vint de Bélus mon père implorer la puissance. / Rempli d'un grand projet, de son état nouveau / il voulait que Bélus protégeât le berceau. "