Translation of "Carinho" in French

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Examples of using "Carinho" in a sentence and their french translations:

Carinho, posso explicar.

Chéri, je peux te l'expliquer !

Preciso de carinho.

J'ai besoin d'affection.

O menino está fazendo carinho no gato.

L'enfant caresse le chat.

Eu não faço carinho no cachorro deles.

Je ne caresse pas leur chien.

- A criança está alisando um gato.
- A criança está fazendo carinho em um gato.

L'enfant caresse un chat.

- A criança está alisando um gato.
- O menino está fazendo carinho em um gato.

L'enfant caresse un chat.

Muitas pessoas usam anglicismos porque elas não sabem como reescrevê-los, já que não há alternativas em seus idiomas. Por isso, nós vemos como a nossa tarefa pensar em boas alternativas, com carinho e imaginação.

Beaucoup de gens utilisent des anglicismes car ils ne savent pas les retranscrire, puisqu'il n'y a pas d'alternatives dans leur propre langue. Par conséquent, nous considérons comme notre tâche de trouver de bonnes alternatives, avec passion et imagination.

Sem perder tempo, lanço as bases da cidade / com que tanto sonhava e Pérgamo lhe chamo, / pedindo a todos, que se orgulham desse nome, / que cuidem com carinho de assentar / seus novos lares e alto erguer a cidadela.

J'y fonde une cité ; je l'appelle Ilion : / l'heureuse colonie applaudit à son nom. / Je l'invite à chérir sa demeure nouvelle, / à bâtir de ses mains sa haute citadelle.

"E vós, meus serviçais, / atentai bem: logo à saída da cidade, / numa colina retirada fica um templo / vetusto à deusa Ceres consagrado, / e ao pé dele um cipreste antigo, que o carinho / de ancestral devoção preserva há muitos anos."

" Et vous, qu'un noble zèle attache à votre maître, / écoutez : hors des murs vos yeux verront paraître / un coteau d'où s'élève un temple où les mortels / de Cérès autrefois encensaient les autels ; / non loin est un cyprès respecté par les âges, / et qui de nos aïeux recevait les hommages. "

Lá chegando, / e tendo sido autorizados a falar / à soberana, Ilioneu, que era o mais velho, / proferiu calmamente estas palavras: / “Ó rainha, a quem Júpiter concede / erguer nova cidade e impor das leis o freio / ao orgulho de indômitas nações, / atende aos rogos dos troianos infelizes, / que os mares cruzam à mercê dos ventos: / livra do incêndio criminoso nossas naves, / poupa este povo ordeiro e de bom coração, / e com carinho estuda nossa causa".

Didon les fait d'abord admettre en sa présence. / À peine au bruit confus succède le silence, / celui dont l'âge mûr a mérité leur choix, / Ilionée, ainsi fait entendre sa voix : / " Grande reine ! dit-il d'un ton plein de noblesse, / vous dont ces murs naissants attestent la sagesse, / et qui, donnant des mœurs à ce peuple indompté, / avez au frein des lois asservi sa fierté, / d'un peuple généreux, que le malheur accable, / vous voyez devant vous le reste déplorable ; / il vient vous implorer. À peine nos vaisseaux / échappaient aux fureurs et des vents et des eaux, / une troupe ennemie, au sortir du naufrage, / a menacé des feux ce qu'épargna l'orage. / O reine ! ouvrez l'oreille à nos cris douloureux ; / sachez ce qu'on nous doit, en sachant qui nous sommes. "

Também triste no instante derradeiro / daquele adeus, Andrômaca, não menos / generosa que Heleno, a Ascânio presenteia / com finos trajes adornados de ouro, / uma clâmide frígia e farto suprimento / de preciosos tecidos, e assim fala: / “Filho, aceita estas prendas, meus lavores, / como lembrança e testemunho do carinho imperecível da viúva do teu tio / Heitor; recebe os derradeiros mimos / de teus parentes, tu que és viva imagem / do meu caro Astianaz: esse rosto, esses olhos, / essas mãos ele tinha, e hoje estaria / com tua idade, a entrar na adolescência.”

Cependant, à son tour, Andromaque pensive / prépare ses adieux ; sa tendresse attentive / aux présents d'Hélénus veut ajouter le sien. / Ascagne reçoit d'elle un manteau phrygien, / de superbes tissus où la navete agile / a glissé des fils d'or dans sa trame fragile, / des travaux de ses mains plus précieux encor. / " Tenez, prenez ce don de l'épouse d'Hector, / cher enfant : qu'il vous prouve à jamais ma tendresse. / C'est le dernier présent d'une triste princesse ; / de vos parents, hélas ! c'est le dernier bienfait. / Prenez, ô de mon fils doux et vivant portrait ! / Voilà son air, son port, son maintien, son langage ; / ce sont les mêmes traits, il aurait le même âge ... "