Examples of using "Carinho" in a sentence and their french translations:
Chéri, je peux te l'expliquer !
J'ai besoin d'affection.
L'enfant caresse le chat.
Je ne caresse pas leur chien.
L'enfant caresse un chat.
L'enfant caresse un chat.
Beaucoup de gens utilisent des anglicismes car ils ne savent pas les retranscrire, puisqu'il n'y a pas d'alternatives dans leur propre langue. Par conséquent, nous considérons comme notre tâche de trouver de bonnes alternatives, avec passion et imagination.
J'y fonde une cité ; je l'appelle Ilion : / l'heureuse colonie applaudit à son nom. / Je l'invite à chérir sa demeure nouvelle, / à bâtir de ses mains sa haute citadelle.
" Et vous, qu'un noble zèle attache à votre maître, / écoutez : hors des murs vos yeux verront paraître / un coteau d'où s'élève un temple où les mortels / de Cérès autrefois encensaient les autels ; / non loin est un cyprès respecté par les âges, / et qui de nos aïeux recevait les hommages. "
Didon les fait d'abord admettre en sa présence. / À peine au bruit confus succède le silence, / celui dont l'âge mûr a mérité leur choix, / Ilionée, ainsi fait entendre sa voix : / " Grande reine ! dit-il d'un ton plein de noblesse, / vous dont ces murs naissants attestent la sagesse, / et qui, donnant des mœurs à ce peuple indompté, / avez au frein des lois asservi sa fierté, / d'un peuple généreux, que le malheur accable, / vous voyez devant vous le reste déplorable ; / il vient vous implorer. À peine nos vaisseaux / échappaient aux fureurs et des vents et des eaux, / une troupe ennemie, au sortir du naufrage, / a menacé des feux ce qu'épargna l'orage. / O reine ! ouvrez l'oreille à nos cris douloureux ; / sachez ce qu'on nous doit, en sachant qui nous sommes. "
Cependant, à son tour, Andromaque pensive / prépare ses adieux ; sa tendresse attentive / aux présents d'Hélénus veut ajouter le sien. / Ascagne reçoit d'elle un manteau phrygien, / de superbes tissus où la navete agile / a glissé des fils d'or dans sa trame fragile, / des travaux de ses mains plus précieux encor. / " Tenez, prenez ce don de l'épouse d'Hector, / cher enfant : qu'il vous prouve à jamais ma tendresse. / C'est le dernier présent d'une triste princesse ; / de vos parents, hélas ! c'est le dernier bienfait. / Prenez, ô de mon fils doux et vivant portrait ! / Voilà son air, son port, son maintien, son langage ; / ce sont les mêmes traits, il aurait le même âge ... "