Examples of using "Vendere" in a sentence and their french translations:
Il a décidé de vendre sa voiture.
Souhaitez-vous vendre votre maison ?
- Je veux vendre ça.
- Je souhaite vendre ceci.
- Vendre des voitures est mon travail.
- Vendre des voitures, c'est ma partie.
- Il ne voulut pas vendre le livre.
- Il ne voulut pas vendre l'ouvrage.
- Il n'a pas voulu vendre le livre.
- Il n'a pas voulu vendre l'ouvrage.
J'ai des tickets à vendre.
Il va falloir vendre la maison.
Je n'aurais pas dû vendre ma voiture.
Tom pourrait vendre n'importe quoi.
Tom veut vendre la ferme.
Je dois vendre mon appartement.
Tom a décidé de vendre sa voiture.
Nous y avons recours pour vendre de tout.
Dans l'espoir de pouvoir vendre
Tom pourrait vendre n'importe quoi.
Tu ne peux pas vendre notre piano !
Vous ne pouvez pas vendre notre piano !
Tom veut vendre tout ce qu'il a dans son garage.
Jusqu'à présent, vous pouviez revendre le bois par la suite.
Tout le monde tentait de vendre ses titres.
- À qui puis-je le vendre ?
- À qui puis-je la vendre ?
La ville a essayé de vendre tous les jardins partagés.
- Penses-tu sérieusement à vendre ça sur eBay ?
- Pensez-vous sérieusement à vendre ça sur eBay ?
Je voulais vendre ma vieille voiture à Tom.
Vous allez vendre votre maison.
Ne vends pas la peau de l'ours avant de l'avoir tué !
- Vous devriez vendre vos dessins car ils sont vraiment merveilleux.
- Tu devrais vendre tes dessins parce qu'ils sont vraiment merveilleux.
Tu vas vendre ta maison.
Il va vendre sa maison.
Elle va vendre sa maison.
Nous allons vendre notre maison.
- Ils vont vendre leur maison.
- Elles vont vendre leur maison.
où ils achetaient des épices et de la soie pour les vendre en Europe occidentale.
pour pouvoir vendre des légumes du champ en été.
Beaucoup de gens sont actuellement en train d'essayer de vendre leurs maisons.
Dan va vendre sa maison.
Linda va vendre sa maison.
mais elle fut annulée lorsque Napoléon décida, à la place, de vendre la Louisiane aux États-Unis.
Si jamais tu décides de vendre ta collection de vieux disques, je veux passer en prem's !
Il ne faut pas vendre la peau de l'ours avant de l'avoir tué.
Les Américains ont voulu imposer l'idée selon laquelle un livre ou un film devaient être considérés comme n'importe quel objet commercial. Car eux ont compris qu'à côté de l'armée, de la diplomatie et du commerce il existe aussi une guerre culturelle. Un combat qu'ils entendent gagner à la fois pour des raisons nobles - les Etats-Unis ont toujours estimé que leurs valeurs sont universelles - et moins nobles : le formatage des esprits est le meilleur moyen d'écouler les produits américains. Songez que le cinéma représente leur poste d'exportation le plus important, bien avant les armes, l'aéronautique ou l'informatique ! D'où leur volonté d'imposer l'anglais comme langue mondiale. Même si l'on note depuis deux décennies un certain recul de leur influence.
Il n'y a pas, à ce stade de l'histoire mondiale aux États-Unis d'Amérique, de chose telle qu'une presse indépendante. Vous le savez et je le sais. Il n'y a pas un de vous qui ose écrire ses franches opinions, et si vous le faisiez, vous savez d'avance qu'elles ne seraient jamais publiées. Je suis hebdomadairement payé pour tenir mes franches opinions à distance du journal auquel je suis lié. D'autres d'entre vous reçoivent de mêmes émoluments pour des choses similaires, et n'importe lequel d'entre vous qui serait assez bête pour écrire de franches opinions serait à la rue à chercher un autre emploi. Si je laissais mes franches opinions être publiées dans l'une des parutions de mes journaux, mon emploi s'évaporerait avant vingt-quatre heures. Le boulot du journaliste est de détruire la vérité, de mentir effrontément, de pervertir, de diaboliser, de lécher les pieds de Mammon et de vendre son pays et sa race pour gagner son pain quotidien. Vous le savez et je le sais, et quelle folie est cette célébration d'une presse indépendante ? Nous sommes des pantins, ils tirent les ficelles et nous dansons. Nos talents, nos possibilités et nos vies sont tous la propriété d'autres hommes. Nous sommes des prostitués intellectuels.