Examples of using "Giornalista" in a sentence and their french translations:
Je suis journaliste.
Je suis journaliste.
Je suis journaliste.
- Il est journaliste.
- C'est un journaliste.
- Il est pigiste.
- C'est un pigiste.
- C'est un journaliste indépendant.
- Je suis une journaliste indépendante.
- Je suis journaliste freelance.
- Vous êtes un bon journaliste.
- Tu es un bon journaliste.
- Je voulais être journaliste.
- Je voulais devenir journaliste.
Je suis journaliste.
Journaliste : Lui avez-vous acheté un chaton ?
Mon fils est journaliste.
Mon copain est journaliste.
Ma cousine est journaliste.
Je suis journaliste indépendant.
Tom est journaliste.
Tom était journaliste.
Le journaliste critiqua le politicien.
Mon fils est journaliste.
Je veux devenir journaliste sportif.
Tom compte devenir journaliste.
Il y a 23 ans, je suis journaliste,
en compagnie de la journaliste Myriam Bounafaa,
Mon copain est journaliste.
La journaliste a posé une très bonne question.
Le journaliste a loué un appartement qui est très cher.
Elle a été actrice de music-hall, journaliste et critique théâtral.
Il n'y a pas, à ce stade de l'histoire mondiale aux États-Unis d'Amérique, de chose telle qu'une presse indépendante. Vous le savez et je le sais. Il n'y a pas un de vous qui ose écrire ses franches opinions, et si vous le faisiez, vous savez d'avance qu'elles ne seraient jamais publiées. Je suis hebdomadairement payé pour tenir mes franches opinions à distance du journal auquel je suis lié. D'autres d'entre vous reçoivent de mêmes émoluments pour des choses similaires, et n'importe lequel d'entre vous qui serait assez bête pour écrire de franches opinions serait à la rue à chercher un autre emploi. Si je laissais mes franches opinions être publiées dans l'une des parutions de mes journaux, mon emploi s'évaporerait avant vingt-quatre heures. Le boulot du journaliste est de détruire la vérité, de mentir effrontément, de pervertir, de diaboliser, de lécher les pieds de Mammon et de vendre son pays et sa race pour gagner son pain quotidien. Vous le savez et je le sais, et quelle folie est cette célébration d'une presse indépendante ? Nous sommes des pantins, ils tirent les ficelles et nous dansons. Nos talents, nos possibilités et nos vies sont tous la propriété d'autres hommes. Nous sommes des prostitués intellectuels.