Examples of using "Diventati" in a sentence and their french translations:
Ils sont devenus clandestins.
Ils sont devenus furieux.
Nous sommes devenus une famille.
il était devenu reconnaissable dans le monde entier.
Nous sommes devenus amis avec Tom.
Non, vous n'êtes pas fou.
Nous ne sommes pas devenus beaucoup plus inventifs.
Ses cheveux sont devenus blancs.
Ses cheveux sont devenus gris.
- Je n'arrive pas y croire ! Ils n'ont pas dit un seul mot.
- Je n'arrive pas à y croire ! Ils se sont tus.
- Je n'y crois pas ! Ils sont devenus muets.
Tom et Mary sont devenus avocats.
Les cheveux de papa sont devenus gris.
Nous sommes devenus les meilleurs amis du monde.
Nous sommes tous devenus soldats.
Nous sommes tous devenus communistes.
Les Français et les Allemands sont devenus de grands amis.
Car nous sommes devenus bons dans l'extraction de boules
et que six ans plus tard, il aurait été aussi gros que Disney.
et aujourd'hui, les médias sociaux sont presque devenus un service public.
Nos gouvernements sont devenus des androïdes vivant parmi une population humaine.
devenus les visages de la course cycliste, qui est depuis longtemps un mythe.
- Contre toute attente, nous devînmes amis.
- Contre toute attente, nous devînmes amies.
- Contre toute attente, nous sommes devenus amis.
- Contre toute attente, nous sommes devenues amies.
Mary et moi sommes devenues bonnes amies.
- Nous devînmes bons amis.
- Nous devînmes bonnes amies.
- Nous sommes devenus bons amis.
- Nous sommes devenues bonnes amies.
Les mères avaient coutume de dire à leur fils qu'ils deviendraient aveugles s'ils se masturbaient.
Tom et Marie sont devenus amis.
Les États-Unis sont devenus une nation en 1776.
En tournant les épreuves de l'hiver à leur avantage, ils sont devenus de véritables maîtres des longues nuits du nord.
Dans la vie de ma grand-mère, les téléphones et les ordinateurs sont devenus banals.
Les rêves se sont réalisés.
Finalement, en 1314, ces jeux devinrent si violents et dangereux que le roi Edouard II créa une loi.
Nous sommes obligés de considérer comme fous beaucoup de nos esprits originaux — au moins jusqu'à ce que nous soyons devenus aussi malins qu'eux.
Les deux livres de Christophe Colomb, "Comment tuer un requin à mains nues pour les nuls" et "Les vingt manières d'étrangler un calmar géant" sont tous deux des best-sellers.
En prenant l'habitude de mettre et de lire des émoticônes et autres abréviations chargées d'indiquer le ton des messages, les jeunes vident les langues de leur charge émotionnelle, ravalant les mots à une simple information insipide, au point qu'ils sont devenus incapables d'y détecter le moindre humour sans ces symboles. C'est à se demander comment nos ancêtres faisaient pour rire ou pleurer des correspondances qu'ils recevaient. Les langues autrefois si riches de cette dualité sont donc en train d'évoluer en combinaisons de deux systèmes de symboles distincts : l'un pour le contenu, l'autre pour le ton.