Examples of using "Edessä" in a sentence and their french translations:
J'ai dormi devant la télé.
- Danger en perspective.
- Danger à venir.
- Attention, danger.
Regardez, de la lumière.
Regardez, une clairière.
Il y a un énorme dénivelé.
- Il y a une banque en face de la gare.
- Il y a une banque devant la gare.
Il y a une voiture devant l'immeuble.
Devant ma maison se trouve un lac.
Il est devant la porte.
Il y a une pente. Soyez prudents.
Mais on a du chemin à faire.
- Elle le fit au vu et au su du personnel.
- Elle l'a fait au vu et au su du personnel.
- Elle le fit devant le personnel.
- Elle l'a fait devant le personnel.
Sa grossièreté me rendit sans voix.
- Cela te rend-il nerveux de parler devant beaucoup de gens ?
- Cela te rend-il nerveuse de parler devant beaucoup de gens ?
Un jeune homme chante devant la porte.
- Un brillant avenir vous attend.
- Un brillant avenir t'attend.
Je compte toujours sur lui en cas de problème.
Il était impuissant face à la mort.
Sa femme a pris un travail par nécessité.
Quand l'information est sous nos yeux sur les réseaux sociaux,
Belle trouvaille ! Bravo. Regardez, il y a de la lumière.
Le parking en face de la banque était complet.
Tom demanda à Mari de l’attendre devant la bibliothèque.
Notre dernière étape : les apporter au village. Allez !
J'ai besoin de vous pour accomplir une mission importante.
Il déambulait devant la voiture.
Les enfants sont capables de regarder des dessins animés à la télévision durant des heures.
Je n'aime pas chanter en public.
- Il passe ses soirées en face de son ordinateur portable.
- Il passe ses soirées face à son ordinateur portable.
À la fête, un de ses opposants politiques l'a humilié en présence de nombreux invités.
Affamés et complètement dépendants d'elle. Une nuit chargée s'annonce.
À cette époque il reprenait la moindre faute de prononciation que je faisais, ce qui était agaçant, surtout en public.
Il n'y a pas, à ce stade de l'histoire mondiale aux États-Unis d'Amérique, de chose telle qu'une presse indépendante. Vous le savez et je le sais. Il n'y a pas un de vous qui ose écrire ses franches opinions, et si vous le faisiez, vous savez d'avance qu'elles ne seraient jamais publiées. Je suis hebdomadairement payé pour tenir mes franches opinions à distance du journal auquel je suis lié. D'autres d'entre vous reçoivent de mêmes émoluments pour des choses similaires, et n'importe lequel d'entre vous qui serait assez bête pour écrire de franches opinions serait à la rue à chercher un autre emploi. Si je laissais mes franches opinions être publiées dans l'une des parutions de mes journaux, mon emploi s'évaporerait avant vingt-quatre heures. Le boulot du journaliste est de détruire la vérité, de mentir effrontément, de pervertir, de diaboliser, de lécher les pieds de Mammon et de vendre son pays et sa race pour gagner son pain quotidien. Vous le savez et je le sais, et quelle folie est cette célébration d'une presse indépendante ? Nous sommes des pantins, ils tirent les ficelles et nous dansons. Nos talents, nos possibilités et nos vies sont tous la propriété d'autres hommes. Nous sommes des prostitués intellectuels.
Il n'y a pas, à ce stade de l'histoire mondiale aux États-Unis d'Amérique, de chose telle qu'une presse indépendante. Vous le savez et je le sais. Il n'y a pas un de vous qui ose écrire ses franches opinions, et si vous le faisiez, vous savez d'avance qu'elles ne seraient jamais publiées. Je suis hebdomadairement payé pour tenir mes franches opinions à distance du journal auquel je suis lié. D'autres d'entre vous reçoivent de mêmes émoluments pour des choses similaires, et n'importe lequel d'entre vous qui serait assez bête pour écrire de franches opinions serait à la rue à chercher un autre emploi. Si je laissais mes franches opinions être publiées dans l'une des parutions de mes journaux, mon emploi s'évaporerait avant vingt-quatre heures. Le boulot du journaliste est de détruire la vérité, de mentir effrontément, de pervertir, de diaboliser, de lécher les pieds de Mammon et de vendre son pays et sa race pour gagner son pain quotidien. Vous le savez et je le sais, et quelle folie est cette célébration d'une presse indépendante ? Nous sommes des pantins, ils tirent les ficelles et nous dansons. Nos talents, nos possibilités et nos vies sont tous la propriété d'autres hommes. Nous sommes des prostitués intellectuels.
Il n'y a pas, à ce stade de l'histoire mondiale aux États-Unis d'Amérique, de chose telle qu'une presse indépendante. Vous le savez et je le sais. Il n'y a pas un de vous qui ose écrire ses franches opinions, et si vous le faisiez, vous savez d'avance qu'elles ne seraient jamais publiées. Je suis hebdomadairement payé pour tenir mes franches opinions à distance du journal auquel je suis lié. D'autres d'entre vous reçoivent de mêmes émoluments pour des choses similaires, et n'importe lequel d'entre vous qui serait assez bête pour écrire de franches opinions serait à la rue à chercher un autre emploi. Si je laissais mes franches opinions être publiées dans l'une des parutions de mes journaux, mon emploi s'évaporerait avant vingt-quatre heures. Le boulot du journaliste est de détruire la vérité, de mentir effrontément, de pervertir, de diaboliser, de lécher les pieds de Mammon et de vendre son pays et sa race pour gagner son pain quotidien. Vous le savez et je le sais, et quelle folie est cette célébration d'une presse indépendante ? Nous sommes des pantins, ils tirent les ficelles et nous dansons. Nos talents, nos possibilités et nos vies sont tous la propriété d'autres hommes. Nous sommes des prostitués intellectuels.