Examples of using "Amerikassa" in a sentence and their french translations:
- Es-tu déjà allé en Amérique ?
- Êtes-vous déjà allé en Amérique ?
Je suis né en Amérique.
Je ne suis jamais allé en Amérique.
Je veux aller aux États-Unis un jour.
Aux États-Unis de nombreux criminels sont dépendants à la drogue.
En Europe et aux États-Unis, ils considèrent le chien comme un membre de la famille.
Le Paraguay est un pays d'Amérique du Sud.
Quand j'habitais aux États-Unis, je jouais au golf avec mes amis.
On trouve ce genre de cladium partout en Amérique centrale.
Bien sûr, notre façon de vivre est différente de celle de l'Amérique.
- En Amérique, les voitures roulent à droite.
- Aux États-Unis, les voitures circulent sur le côté droit de la route.
Elle est très connue à la fois au Japon et en Amérique.
Nous allions à l'église tous les dimanches quand nous étions en Amérique.
Aux États-Unis, la consommation de produits de restauration rapide a triplé entre 1977 et 1995.
Mon père, qui travaille actuellement en Amérique, nous a envoyé une lettre la semaine dernière.
Il n'y a pas, à ce stade de l'histoire mondiale aux États-Unis d'Amérique, de chose telle qu'une presse indépendante. Vous le savez et je le sais. Il n'y a pas un de vous qui ose écrire ses franches opinions, et si vous le faisiez, vous savez d'avance qu'elles ne seraient jamais publiées. Je suis hebdomadairement payé pour tenir mes franches opinions à distance du journal auquel je suis lié. D'autres d'entre vous reçoivent de mêmes émoluments pour des choses similaires, et n'importe lequel d'entre vous qui serait assez bête pour écrire de franches opinions serait à la rue à chercher un autre emploi. Si je laissais mes franches opinions être publiées dans l'une des parutions de mes journaux, mon emploi s'évaporerait avant vingt-quatre heures. Le boulot du journaliste est de détruire la vérité, de mentir effrontément, de pervertir, de diaboliser, de lécher les pieds de Mammon et de vendre son pays et sa race pour gagner son pain quotidien. Vous le savez et je le sais, et quelle folie est cette célébration d'une presse indépendante ? Nous sommes des pantins, ils tirent les ficelles et nous dansons. Nos talents, nos possibilités et nos vies sont tous la propriété d'autres hommes. Nous sommes des prostitués intellectuels.